"Les démagos", un bon résumé du terrorisme intellectuel qui paralyse nos médias, notre culture, notre politique..
On ne dira jamais assez tout le mal que le socialisme aura fait à ce monde – qu'on l'appelle communisme, marxisme, socialisme, stalinisme, léninisme, national-socialisme, international-socialisme, maoisme, trotskisme et toutes les autres déclinaisons possibles, c'est la même bête immonde, la même dictature monstrueuse qui a ensanglanté la planète depuis 2 siècles (c'est l'enfant hideux de 1789), et qui continue de le faire.
http://www.amazon.fr/Livre-noir-communisme-terreur-r%C3%A9pression/dp/2221088611
Un livre à acheter, et à lire après avoir écouté Jean-Pax : on n'en sort pas intact et on regarde avec un regard très critique l'intox' scandaleuse de nos médias.
Mais qui est ce héraut de l'Occident, ce héros de l'anti-socialisme? 3 articles trouvés sur la toile pour cerner le personnage, un de "Valeurs actuelles" et 2 anecdotes
Méfret : Le chanteur d'Occident
Le 6 juillet 1962, le lieutenant Roger Degueldre est fusillé au fort d'Ivry. Le soir, dans la petite chapelle de la prison de Rouen, à la messe des morts dite en mémoire du lieutenant, le détenu Jean-Pax Méfret entonne le "De Profundis." Depuis la veille, le drapeau vert et blanc au croissant rouge flotte sur Alger. L'Algérie française est morte. Méfret n'a pas 18 ans. C'était il y a longtemps, presque dans un autre monde, celui que réveille Jean-Pax Méfret dans "1962, l'été du malheur," bouleversante alchimie de souvenirs personnels et d'un immense drame collectif.
Jean-Pax? Le prénom qu'il reçut à sa naissance le 9 septembre 1944 à Alger. Un père marseillais résistant venu en Algérie pour préparer le débarquement américain de 1942. Une mère pied-noir, d'une famille installée depuis le 19ème siècle. Les Méfret habitent Belcourt, un faubourg populaire d'Alger. C'est là que grandit Jean-Pax, entre les maristes, les scouts et les copains musulmans, entre la ville et le bled. Des couleurs, des odeurs, des saveurs, des paysages, des attitudes, une attention aux gens modestes, le goût des petits bonheurs de la vie qui irradient la mémoire de Méfret.
Première fêlure, à la rentrée 1955, son ami de classe, un Chaoui des Aurès, est absent. Les temps changent: massacres, tel celui d'El-Alia, et attentats ensanglent le pays. Jean-Pax en est le témoin direct. Élevé dans le culte de la France, il s'accroche à De Gaulle, l'acclame sur le Forum le 4 juin 1958. Son désespoir sera à la hauteur de ses espérances. En janvier 1960, pendant les "Barricades", l'adolescent s'introduit dans le camp retranché d'Ortiz. Lors du putsch du 22 avril 1961, il participe à l'occupation de la radio d'Alger, repabtisée Radio France. Arrêté, à peine libéré, le voilà agent de liaison de l'OAS. Deuxième arrestation le 13 février 1962, transfert en métropole, à la Santé, puis Rouen.
Sorti de prison à l'automne de la même année, assigné à résidence, il poursuit ses études et monte un groupe musical pour distraire les rapatriés parqués dans des centres d'accueil.
Chez Decca, il sort cinq disques sous le nom de Jean-Noël Michelet (le prénom de son père et le nom d'une grande rue d'Alger), gagne en 1965 le grand prix "Âge tendre et têtes de bois," l'émission qui découvre les nouveaux talents. En 1968, le chanteur Jean-Pax voit le jour avec "la Prière du pied-noir" et "l'Hymne des pieds-noirs," des chansons engagées en faveur de l'amnistie des prisonniers politiques et des exilés. Silence radio. Mais les disquent se vendent, les succès s'enchaînent, "le Chanteur d'Occident" sert de mot de passe entre amis. Avec des paroles simples, soutenu par un remarquable accompagnement musical, Jean-Pax chante des histoires d'où sourd une émotion intense. Une bouffée d'air frais. Méfret crève les baudruches des démagos de tous poils. Loin de ruminer des défaites, il exalte le courage, le respect de soi et des autres, l'énergie, l'honneur, la force de la parole donnée, la foi aussi.
A partir de 1970, le journalisme. Pour "l'Aurore," puis pour "Le Figaro Magazine," Méfret couvre la plupart des conflits de la fin du siècle, se spécialise dans les enquêtes politico-criminelles et les grands dossiers. Pourtant, il ne délaisse pas la chanson. Encouragé par des amis, il crée sa propre société de production. En octobre 2004, plusieurs milliers de spectateurs l'acclament au Kino, à Paris. Surprise : des jeunes gens fredonnent ses airs. Ses chansons ont franchi une génération et lui ont échappé. Un sentiment déjà ressenti à Berlin-Est. A la veille de la chute du Mur, de jeunes Allemands se rassemblaient, bougie à la main, en chantant "Professeur Müller."
Frédéric Valloire
1962, l'été du malheur, Pygmalion, 216 pages, 19 euros
Information diffusée par Jeune Pied-Noire
BP 4
91570 Bièvres (France)
jeunepiednoir@wanadoo.fr
Valeurs Actuelles, 28 septembre 2007, page 64
source
14. — « Vous allez me traiter de réac... »... Cela fait longtemps que je cherchais ce disque de Jean-Pax Méfret... Enfin un artiste de droite qui dévoile ses idées ! Les textes, si on fait abstraction de leur contenu, sont assez réussis. À l’époque la droite surfait sur le « péril rouge » par rapport à l’ex URSS, le stalinisme, etc. un peu éculé de nos jours où le PCF est quasi undergrond ils vont devoir se recycler ! Quelques extraits : « La foule qui crie “Algérie française !” » (...) « J’ai sous mon oreiller deux grenades quadrillées » (...) « Je chante contre le grand soir, je suis un chanteur d’Occident » Tout est dit, on peut comprendre que beaucoup d’artistes partageant certaines de ces idées n’osent les exprimer...
source photo & texte
http://zentropa.splinder.com/post/9669187/Soldats+perdus
Yémen 1964, le garçon de vingt-deux ans qui appuie ses avant-bras sur la kalachnikov qu'il porte en bandoulière n'a jamais fait la guerre. Il a tenté de "prendre en marche" celle d'Algérie. Mais elle lui a échappé, il était né trop tard. Dans l'OAS, il n'a pas non plus vraiment fait du terrorisme. Quelques bombes, deux trois rafales...
Aujourd'hui il contemple un paysage désertique, au milieu des montagnes noires plantées sur du sable violet, à portée du napalm et des bombes larguées par les Migs aux couleurs égyptiennes.
Il vient de rejoindre la cinquantaine de mercenaires français et européens qui se sont mis au service de l'armée royaliste de l'Imam El Badr, commandée par le prince Mohamed Ibn Hussein.
Cette armée essaie de reconquérir morceau par morceau le territoire de l'imam renversé en 1962 par une junte d'officiers "républicains" conduite par Sallal, un officier yéménite formé au Caire, installé et soutenu par les Soviétiques, par l'intermédiaire de Nasser et son corps expéditionnaire.
Plus de 30000 soldats d'élite égyptiens étaient arrivés dans les mois suivant le coup d'État pour sauver la République pro-communiste menacée d'être balayée par quelques 100000 hommes déjà ralliés à l'imam. Les républicains furent bientôt 60000, appuyés par les blindés et par l'aviation de chasse et de bombardement égyptienne.
C'est à Paris, à la terrasse du Père Tranquille, qu'un ex-officier du REP recrute les futurs volontaires qui partent dans les 48 heures après signature.
Les mercenaires, pour la majorité vétérans d'autres guerres forment la résistance royaliste, il enseignent les techniques de combat et de guérilla, ainsi que l'utilisation d'armes qu'ignoraient jusque là les Bédouins, encore limités au fusil et au poignard.
Les mercenaires forment un curieux mélange d'hommes venus se battre pour de l'argent, certes, mais surtout par goût du risque et par volonté de se rendre utile à une cause qu'ils estiment juste.
Ils mènerons aux dires de tous une guerre épuisante, tant moralement que physiquement.
A son arrivée au Yémen, le jeune mercenaire peut voir Tony de Saint-Paul, alias Roger de Saint-Preux. Ex-sous lieutenant de l'armée française, spécialiste des questions arabes, un homme de grand courage, rompu à toutes les techniques de commandos.
Il est là. Dans une malle, mort, le corps cassé en deux, brisé par un obus de 37. Il attend depuis deux mois d'être rapatrié en France.
Tony de Saint-Paul était arrivé avec les hommes de Bob Denard et ceux du commandant Roger Faulques, ancien du 1er REP, cinq mois plus tôt.
"Je ne m'étendrai pas sur mes activités, écrivait Saint-Paul à un ami le 12 décembre 1963, quelques jours avant de mourir. Elles sont nombreuses et la vie que je mène est dure, très dure. J'ai relancé la guérilla à ma façon et ça pète de tous côtés, mines, pièges, embuscades, voire attentat à Sanaa. Bien sûr, on ne parle pas du Yémen en Europe. Pourtant ici il y aurait de quoi remplir les colonnes d'un "canard" difficile. Je compte rentrer vers la fin janvier, début février, dépenser mon fric et peut-être revenir. Ma tête chez les Égyptiens est passée de cinq cents dollars à dix-mille. J'espère qu'elle montera encore. Preuve du bien que je leur prodigue."
1966. Le jeune mercenaire a maintenant l'expérience du vieux guerriers. Il est retourné plusieurs fois en Europe mais il a renouvelé tous ses contrats. La majeure partie du pays est maintenant sous le contrôle des royalistes. Les Égyptiens sont partis. Seuls quelques conseillers soviétiques sont restés aux côtés des républicains. Sanaa, la capitale du Nord est encerclée.
Les mercenaires enfilent leurs tenues "léopards". Les mots de Roger Bruni, l'un d'entre eux, et ancien de Diên Biên Phu résonnent à leurs oreilles: "Article 1: Le mercenaire est un seigneur! Article 2: Un seigneur ne peut-être que mercenaire!"
La colonne motorisée s'ébranle dans l'air frai de la nuit qui s'achève, à 9h30 les cinquante pièces de l'artillerie républicaine répondent au déluge de feu avec leurs orgues de Staline. Pendant huit heures, la plaine tressaille sous les coups des bombes. La victoire est là, pensent les Français. Sanaa va tomber.
Mais l'infanterie n'a pas attaqué. Le prince n'a pas voulu donner l'ordre. L'amertume envahit les "soldats sans frontières". Ils s'observent sans rien dire, le visage noirci, fatigués, les treillis abîmés. Leur effort n'a servi à rien. Les Yéménites redoublent de "French very good!", piètre consolation. La guerre civile aboutira au partage du Yémen en une République arabe du Yémen (Nord, anti communiste) et la République "démocratique populaire".
D'après l'article "Au Yémen pour le roi" de Jean-Pax Mefret, in Historia n°406 bis.
Qui se souvient encore, chez nous, que BEAUCOUP de politiciens de gauche partirent pour l'Algérie pour faire les portes-valises du FLN, transportant des colis d'explosifs et d'armes destinés à tuer les .. Français.. Protégés par leur immunité parlementaire, la police ne pouvait rien faire contre cette vermine dont aujourd'hui encore, nombreux sont ceux qui siègent à l'Assemblée Nationale. Et n'ont pas honte de toucher l'argent du peuple qu'ils ont contribué à faire massacrer.
TRAHISON est leur patrie, MENSONGE leur vertu.
Véronika, Jean-Pax chante Berlin, JFK, la liberté, et notre folie de soutenir les partis staliniens installés chez nous..
Veronika, première chanson du concert de Jean Pax (1er Octobre 2004 à l'espace KINO).
La qualité de l’image n’est pas terrible, mais ceux qui jusqu’alors l’avaient écouté peuvent maintenant le voir.
Elle avait des cheveux blonds fous, Véronika,
Des yeux bleus tristes et un air doux, Véronika.
A Berlin-Est, elle balayait les allées
Lorsque je l’ai rencontrée.
Je me suis approché d’elle, Véronika.
J’ai trouvé qu’elle était belle, Véronika.
Sous ses gants de laine usée,
J’ai caressé De petits doigts froids
Comme ce mur droit.
Souviens-toi, John Kennedy,
Une journée de juin l’a dit.
Devant le mur hérissé de barbelés,
Il s’est écrié : "Moi, je suis berlinois !"
Elle avait des cheveux blonds fous, Véronika,
Des yeux bleus tristes et un air doux, Véronika.
A Berlin-Est, elle balayait les allées
Elle a voulu s’évader.
Quand ils parlent Humanité, je pense à toi
Qui vivait de l’autre côté de ce mur-là,
Et qui rêvait, un jour, d’aller respirer
Le parfum de la Liberté.
Aujourd’hui il ne reste rien de Véronika :
Un peu de terre, une petite croix de bois.
La rose rouge et l’oeillet sont fanés,
Près de ce mur droit,
De ce mur froid.
« Je suis berlinois !"
écoutez aussi le souffle fou de douleur de cette chanson-ci, "les barricades." Tout le drame de la trahison des politiciens, les massacres, un pays qui voulait vivre et qu'on livrait à la folie...
Autre combat où le sang français a été versé en abondance grâce à la trahison des politiciens, l'Indochine. Jusqu'à retrouver les bourreaux français des soldats français capturés par le Vietmin, comme le communiste Boudarel, qu'on retrouva comme prof' d'unif' par la suite. Et impossible de faire condamner ces traîtres, ces bouchers, ces bourreaux : le procès de l'internationale socialiste n'est pas encore au programme, la bête immonde a son ventre encore très fécond et beaucoup de ses petits au pouvoir un peu partout, y compris chez nous.
Dien Bien Phu
Nos politiciens n'ont pas cessé de vendre les peuples aux dictatures, pourvu que leur "conscience politiquement correcte" et leurs intérêts financiers en soient satisfaits. Qui se souvient encore de la Hongrie en 1956?
pas grand monde dans ces commémorations, en prime souvent organisées en collaboration avec certains groupes "extrêmes" – pourquoi donc le devoir de mémoire est-il interdit à nos élus quand il s'agit de la vérité, de la liberté? Et les manifs' ont plus de succès quand il s'agit de demander un 14ème mois ou une semaine de 25 heures payée 45. Jean-Pax, lui, chante encore la Hongrie et la trahison de nos "élites intellectuelles," pour lutter contre notre amnésie, qui risque bien de nous être fatale. Car quand on oublie l'Histoire, ou pire, qu'on accepte que les "élites" nous la réécrivent à leur manière, elle nous rafraîchit la mémoire en nous repassant les plats. Et pas les meilleurs!
Paris-Louvain-Budapest 1956
Récemment décédé, le prix Nobel Alexandre Soljénitsine n'a eu de cesse de dénoncer les horreurs du Goulag, qui n'est jamais que le sommet de la mise en pratique du socialisme. Là encore, Jean-Pax sera un des rarissimes chanteurs à en parler; les autres seront trop impliqués... Par exemple, un Jean Lartéguy pouvait difficilement aller parler des 2 millions de morts du Cambodge, après toutes les couronnes de laurier qu'il avait tressées à Pol Pot et à sa junte...
Goulag
Tout Jean-Pax Méfret est résumé dans cette superbe chanson, "Chanteur d'Occident", de son album "vous allez me traiter de réac'," le préféré de la rédaction de "Zoon Politikon"
source video.google.fr
Si vous en avez l'occasion, allez le soutenir lors de son prochain concert à Paris.
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Et voyez à quel point il est bien d'actualité - les fils de la Bête Immonde ne sont pas morts, loin s'en faut...
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/10/10/01011-20081010FILWWW00503-bezier-une-stele-a-la-gloire-de-l-oas.php
Source : AFP
10/10/2008 | Mise à jour : 16:57
Une stèle dans le sud de la France glorifiant des membres de l'Organisation de l'Armée Secrète (OAS), qui s'était opposée par la terreur à l'indépendance de l'Algérie, suscite l'indignation de responsables politiques locaux et de la Ligue des droits de l'Homme (LDH).
Sur la stèle érigée au cimetière de Béziers peu après la guerre d'Algérie (1954/1962) à la mémoire des morts civils et militaires en outre-mer, ont été ajoutées fin 2003 les photos de quatre membres de l'OAS.
"N'oubliez jamais leur sacrifice", enjoint le monument.
"Cette stèle valorise les quatre tueurs de l'OAS condamnés à mort par les tribunaux français et fusillés", dénonce le communiste Jean-Louis Bousquet, conseiller municipal d'opposition, qui vient d'écrire au président Nicolas Sarkozy.
Le conseiller dénonce "la complaisance du maire" et réclame la suppression des ajouts qui ont transformé la stèle en monument pro-OAS.
Les noms ajoutés sont ceux de Jean-Marie Bastien-Thiry, qui organisa en 1962 un attentat contre le général de Gaulle, du créateur des commandos Delta Roger Degueldre, d'Albert Docevar et de Claude Piegts qui ont participé à l'assassinat du commissaire central d'Alger Roger Gavoury en mai 1961.
"Nous avons demandé que cette stèle soit retirée: l'hommage rendu aux quatre membres de l'OAS condamnés pour meurtre est particulièrement choquant, ça n'a pas sa place dans un cimetière communal", a déclaré à l'AFP l'historien Gilles Manceron, membre du comité central de la LDH.
"Doit-on polémiquer sur des actes amnistiés?", a répondu dans un communiqué le maire de Béziers Raymond Couderc (droite), avertissant: "la seule évocation de faits amnistiés peut être considérée par la loi comme un acte délictueux
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