dimanche 30 mai 2010

Quick vend de la cochonnerie.. et finance l'islam aussi grâce aux fonds publics

Petit bémol à l'article ci-après : C'est l'islam tout court qui est financé par le racket pour l'abattage illégal "halal" dans nos pays, pas seulement le mythique islamisme. La vidéo provient de cet excellent site Novopress. Allez lire, c'est génial. Contre les cochonneries de nos mercantis, grouinons plus fort!

http://fr.novopress.info/51936/70-cochons-lyonnais-envahissent-le-quick-halal-video/





Tout est bon, dans le cochon!
A table, et cochon qui s'en dédit!


mardi 25 mai 2010

Service militaire & racaille (Belgique)

notre lecteur JP nous envoie cet intéressant appel :



Avis à ceux qui ont remplis leurs obligations militaires.....
Aujourd'hui, et ne pouvant que constater une montée de violence gratuite, et une incurie totale de la part de nos dirigeants (mais n'est-ce pas d'abord le rôle des parents?) à gérer ces actes, un homme politique propose "de faire éduquer les jeunes délinquants par des militaires".
Bien sûr et sans tarder, sortant de leurs cartons les "droits de l'enfant" qui visiblement a des lacunes, car y sont libellés leurs droits mais pas leurs devoirs!, de nombreuses associations montent au créneau pour dénoncer une telle proposition
qui disent-ils mettrait à mal le moral de nos chères petites têtes blondes et si bien éduquées par des parents qui savent cogner sur des profs et donc par ce même fait approuvent les actes délictueux de leur rejeton.
MAIS, vous et moi, qui n'étions nullement délinquant avons été pendant un an ou plus, assimilés à un régime que l'on refuse aujourd'hui à cette racaille. Je propose donc d'inviter l'état à réparer cette injustice en nous indemnisant pour préjudice moral, car nous avons nous, honnêtes citoyens subis les affres et humiliations d'un petit sergent de mes deux, et si vous refusiez ce fait, étiez pénalisés lourdement.
Envoyez ceci à vos contacts qui comme moi avons connus un sort que l'on refuse aujourd'hui d'appliquer au rebus de la société et ensemble nous pourrons dès lors que constater la déliquescence de notre société.
Bien a vous
Rol

jeudi 20 mai 2010

Solution pour les soins de santé pour nos aînés malgré la crise de la Sécu'


Sof' nous envoie cette intéressante réflexion....

Vous êtes un ainé et le gouvernement décide

qu'il n'y aura plus de soins de santé pour vous...

Quoi faire...

Notre plan donne à toute personne âgée de 65 ans ou plus

un fusil et 4 balles...

Vous avez le droit de descendre 2 sénateurs et 2 deux ministres.

Bien sûr, cela signifie que vous allez en prison...

Mais... en prison, vous allez avoir 3 repas par jour,

un toit sur votre tête et

tous les soins de santé dont vous avez besoin...

Nouveaux dentiers? pas de problème...

Nouvelles lunettes? ... c'est parfait...

Nouvelles hanches, nouveaux genoux, reins, poumons, cœur...

Tout est couvert...

Et qui va payer pour tous ces soins?

Le même gouvernement qui vous a dit

que vous êtes trop vieux pour bénéficier des soins de santé...

De plus, vous ne paierez plus jamais d'impôts...

QUEL MERVEILLEUX PAYS NOUS AVONS...

Donnez-moi le fusil et 4 balles.... VITE!!!!!!



samedi 15 mai 2010

Privatisation de services publics & santé publique: l'eau comme arme de chantage


Quiconque a voyagé en Angleterre après la libéralisation des chemins de fer brittons, pourtant les plus vieux du monde, ne manquera de se souvenir de la gagebie ambiante une fois le tout confié aux mains de "gestionnaires habiles car professionnels"
Tout s'est effondré, tant qualitativement que quantitativement. Et plus ça allait mal, plus les sociétés cotées en Bourse à la City londonienne empochaient de plantureux bénéfices.
A présent on est arrivés à un point-clé pour la survie même des habitants du pays : l'eau potable. Elle est de plus en plus privatisée. Son retraitement aussi. Preuve par l'exemple que c'est une erreur capitale.





n.c.

Lundi 28 décembre 2009
Carte blanche

Un collectif de militants associatifs et syndicalistes belges (*)

L’arrêt de la station d’épuration de Bruxelles-Nord, décidé unilatéralement par Aquiris, filiale du groupe français Veolia Environnement, a eu et continue d’avoir des conséquences dramatiques pour les trois rivières flamandes dans lesquelles se déversent maintenant la moitié des eaux usées de la ville de Bruxelles, et pour tous leurs riverains.

Quelles qu’aient été les raisons de cette cessation d’activités, elles ne sauraient excuser le comportement irresponsable de cette société qui a osé polluer gravement une région entière dans le seul but de faire monter les enchères dans sa négociation avec les services de la Région de Bruxelles Capitale pour décider qui devait assumer la responsabilité, et donc le coût, de dégager l’entrée de la station. La « sécurité » invoquée par l’exploitant pour justifier cet arrêt a bon dos. Son intention proclamée de rétablir le fonctionnement de la station et de se présenter comme sauveur allant « au-delà de ses obligations contractuelles » est particulièrement cynique : il pouvait très bien prendre ce genre de décision avant d’anéantir volontairement ses « années d’efforts pour assainir les eaux de la Senne, du Ruppel, de l’Escaut et d’autres rivières ».

Le débat tend maintenant à épouser les lignes, classiques dans notre pays, de la querelle communautaire : les eaux usées bruxelloises ont pollué des rivières flamandes, reflet du cycle de l’eau qui se joue bien des frontières humaines. Ce débat est inévitable aujourd’hui mais sans doute pas le mieux adapté à la question qui nous occupe ici : quoi qu’il advienne de la Belgique, néerlandophones et francophones resteront voisins et continueront de devoir gérer ensemble leurs rivières communes. La question de savoir au nom de quoi une entreprise privée peut se permettre de prendre en otage l’environnement d’une région entière par le monopole qu’elle détient de la gestion d’un service public essentiel est beaucoup plus grave et ne doit pas être occultée. Nous demandons donc à la Région de Bruxelles Capitale de prendre les mesures qui s’imposent :

1. Prendre le contrôle d’Aquiris pour que pareil scandale ne se reproduise pas.

2. Associer démocratiquement l’ensemble des riverains des rivières concernées, et leurs institutions représentatives, à la gestion des eaux des bassins versants qui traversent la Région pour ne pas laisser la question de l’eau otage des querelles communautaires.

(*) Riccardo Petrella (professeur à l’UCL), Martin Pigeon (Corporate Europe Observatory), Francis Dewalque (groupe AGCS Forum social de Belgique), Raouf Ben Amar (Forum social bruxellois), Gilbert Lieben (CGSP Admi), Sophie Heine (politologue), Kim Lê Quang (Aquattac), Francine Mestrum (Global Social Justice), ACME-France, Raf Verbeke (syndicaliste), Anna Theisen (Forum social Brabant wallon).


Republié dans "tribune", le mensuel du syndicat FGTB/CGSP, édition "admi", février 2010, page 14

lundi 10 mai 2010

vendredi 7 mai 2010

Belgique, réveilles-toi! (l'appel de la nation)

Jean-Marie, lecteur de Flandre, où seuls les politiciens et les débiles profonds croient qu'il est bon de scinder un pays dont le peuple a 2500 d'existence commune, nous envoie cet appel à la nation ou de la nation, à un réveil contre les vrais dangers et pour les vraies valeurs


Belgique REVEILLE TOI.

Tu as un hymne national qu’on entonne par « noble Belgique »
Ma Belgique a une cuisine, c'est entre-autre « le boulet-frites ».
S'il arrive à ma Belgique de gouter du couscous, etcetera…
Ma Belgique ne veut ignorer ni tchador ni hijab ni burka.

Et pour que ces vêtements n'envahissent plus nos régions…

Réagis , ma nation !


Ma Belgique c'est un bistrot où coule la bière.
Ma Belgique n'a qu'un seul drapeau national dont elle est fière.
Ma Belgique mange du porc et des bonnes salaisons…
Et n'entend rien changer à ses belles traditions.

Et s'il faut à ces cons faire entendre raison…


Réagis , ma nation !

Ma Belgique c'est un village surmonté d'un clocher.
Et si notre tolérance est d’accepter d’autres religions…
Nul ne veut d’un imam à la place d'un curé…
Ou encore, voir une Fatima jouer les députés.
Face à ces musulmans qui narguent nos coutumes et notre religion…


Réagis , ma nation !

Ma Belgique n'a rien de black et encore moins de bronzé.
Ma Belgique n'est pas plus jaune que grise, elle est blanche…
Et si nous accueillons les gens de toutes les couleurs…
Ce n'est pas pour qu'ils nous volent et détruisent nos valeurs.
Face aux immigrés qui profitent de nous et de notre pognon…


Réagis , ma nation !

Ma Belgique n'a que faire de tous ces clandestins…

Et autres sans-papiers qui polluent notre quotidien.
C’est dans leurs pays qu’il faut les renvoyer manu militari…
Que cela plaise ou non à certains « profiteurs » jouant les ahuris.
Face à ces mécréants qui s’introduisent jusque dans nos maisons…


Réagis ma nation !

Les banlieues de nos villes sont des zones de non-droit…
Où certains trous-du-cul font régner leur seule loi.
Les ambulances et les pompiers ne peuvent y intervenir…

Sans se faire caillasser ou se faire démolir.
Zones où même nos forces de l'ordre n’ont aucune voie.
Que pour nos enfants nous ne nous tracassions plus à raison…


Réagis , ma nation !

Nous n'invitons personne à venir vivre en Belgique…
Mais que les étrangers qui y vivent respectent nos lois.
Nous entendons bien vivre, en toute logique…

Avec des personnes qui respectent nos droits.
Et pour tous les autres qui ne l’entendent pas, nous hurlons…


Réagis , ma nation ! ! !

NATION :

Communauté humaine caractérisée par la conscience de son identité historique ou culturelle et formant une entité politique.

(Définition relevée aux dictionnaires de la langue française et néerlandaise).


A ENVOYER A TOUT VOTRE CARNET D’ADRESSES !




Résistons au nazislam!

mercredi 5 mai 2010

Sécuriser Bruxelles est possible si on enlève les oeillières idéologiques


From: Leroutch
Date: Samedi 6 Février 2010, 14h51
Subject: enfin !!!! ça fait plaisir à lire ...surtout dans LeSoir

http://www1.lesoir.be/forum/cartes_blanches/2010-02-05/securiser-bruxelles-avec-les-flamands-752063.shtml

Sécuriser Bruxelles, avec les Flamands

Claude Demelenne, Rédacteur en chef du « Journal du Mardi ».

Homme de gauche, « de sensibilité socialiste », Claude Demelenne a lancé plusieurs polémiques qui ont fait grincer des dents dans sa famille politique. Il a récemment co-signé, avec le sénateur MR, Alain Destexhe, une « Lettre aux progressistes qui flirtent avec l'islam réac » (Éditions du Cerisier)

vendredi 05 février 2010, 09:31

Dans le débat sur l'insécurité à Bruxelles, les Flamands disent tout haut ce que la plupart des francophones pensent tout bas. Bruxelles est malade. De sa violence, de ses zones de non-droit, de ses mafias, de l'impunité, aussi, dont bénéficient trop souvent quelques centaines de petits caïds, pourrissant la vie des citoyens. Les partis de gauche francophone – surtout le PS bruxellois de Philippe Moureaux – refusent de regarder la réalité en face. Ils minimisent les violences urbaines. Une partie de la presse francophone banalise également ces faits. Mes amis flamands ne comprennent pas cette attitude. Elle est, en effet, paradoxale. Hélas, en Belgique francophone, il existe très peu de responsables politiques et d'intellectuels de gauche pragmatiques. En Belgique francophone, « tolérance zéro » est un gros mot. La plupart de mes amis de gauche le considèrent presque comme un slogan fasciste. Une certaine gauche, angélique et moralisatrice, fait régner un terrorisme intellectuel. Je suis prudent. Je m'exprime ici à titre personnel. Dans ma rédaction, mes collègues de gauche me reprocheront sans doute mes propos « sécuritaires. »

Les francophones pensent comme les Flamands. Comme eux, ils constatent les faits : des émeutes violentes, cet été, à Molenbeek et à Anderlecht. Les casseurs ont injurié et attaqué les forces de l'ordre, nargué les autorités, assiégé les habitants de certains immeubles. Le 20 novembre, de jeunes voyous ont lancé des cocktails Molotov dans le commissariat de Cureghem – entièrement saccagé – incendié des voitures, détruit du mobilier urbain. Rue de Ribaucourt, à Molenbeek, les violences sont quasi permanentes. Les médias en parlent peu. Les politiques minimisent, comme d'habitude. Depuis le début d'année, c'est l'escalade : hold-up en série, usage d'armes de plus en plus lourdes, comme des kalachnikovs, policiers pris pour cible, rébellion de jeunes à Anderlecht, après la mort d'un braqueur – habitant le quartier – qui venait de blesser grièvement un policier, braquage encore, ce week-end, et encore les policiers canardés par les jeunes voyous… Mais le socialiste Philippe Moureaux déclare : « La situation ne se dégrade pas, à Bruxelles. » Sur quelle planète vit le président du PS bruxellois ?

Que faire ? Personne ne détient de recette miracle pour en finir avec la violence et les émeutes à répétition qui sont autant de coups de canif dans l'État de droit. Pas de recette miracle, mais un préalable : aucun retour au calme ne sera possible aussi longtemps que certains, soucieux d'un « politiquement correct » soi-disant de gauche, s'obstineront à travestir la réalité. Il est urgent d'en finir avec l'omertà antisécuritaire.

A droite comme à gauche, un consensus devrait exister sur quelques constats-clés. Ces grands constats sont au nombre de dix. Ils sont incontournables, et pourtant niés par la gauche politique francophone, hélas de plus en plus incapable de remplir sa première mission : assurer la tranquillité et la sécurité physique du peuple. Quels sont ces dix constats ?

1.Des violences majeures. « Ce ne sont que des gamins désœuvrés, il ne faut pas exagérer l'importance de ces mini-révoltes qui ne sont le fait que de quelques dizaines de petits caïds », répètent en boucle certains responsables politiques, surtout à gauche. Erreur de diagnostic : ces violences sont majeures, car non seulement elles visent la destruction des fondements de la démocratie, mais en plus, elles perturbent quotidiennement – entre deux émeutes, la peur est omniprésente – la tranquillité des citoyens. Une démocratie qui plonge dans la peur est une démocratie malade. Toute guérison passe par un diagnostic sans tabou. Et la reconnaissance de la gravité du mal.

2.Nommer les émeutiers. À quoi bon le passer sous silence ? La quasi-totalité des jeunes émeutiers qui mettent périodiquement le feu aux poudres dans les quartiers, sont d'origine arabo-musulmane. Ils forment une petite minorité certes, mais très agressive. Fait nouveau : de plus en plus de parents des casseurs prennent la défense des délinquants. C'est une tendance lourde, contre laquelle il faut réagir, en prenant évidemment garde de ne pas stigmatiser une communauté.

3.Des violences racistes. Le Mouvement contre le Racisme, l'Antisémitisme et la Xénophobie (MRAX) n'ouvrira pas le moindre dossier. Et pourtant, comment nier que les violences urbaines dans certains quartiers bruxellois traduisent la montée d'un racisme anti-Blancs au sein d'une minorité de la population ? Fin août, les émeutes de la rue de Ribaucourt, à Molenbeek, ont été éclairantes, à cet égard. Ce sont les maisons et les voitures des non-musulmans et des Blancs qui ont été ciblées avec précision par les jeunes voyous. Il faut y ajouter un autre racisme, tout aussi abject : le racisme anti-homosexuels. Être un homo, dans les cités, c'est aujourd'hui la triste assurance d'être l'objet de vexations incessantes.

4.Un antisémitisme galopant. « Sale Juif » est devenu une insulte chez une minorité de jeunes. Un Juif qui afficherait des signes extérieurs de sa judéité aurait quelques soucis à se faire dans certains quartiers. Les insultes antijuives sont banalisées par beaucoup de professionnels de l'antiracisme. Ces derniers donnent la priorité à ce qu'ils appellent la « lutte contre l'islamophobie », débouchant sur une quasi-interdiction de critiquer l'islam.

5.Un racisme anti-policiers. Si des policiers ont commis des actes répréhensibles, à Forest ou ailleurs, ils doivent bien sûr être sanctionnés. Mais ces sanctions ne doivent pas faire oublier l'essentiel : les forces de l'ordre sont régulièrement narguées, injuriées, provoquées, par une minorité de jeunes qui tentent de les empêcher de faire leur boulot. Une sorte de « racisme anti-flic » prospère dans certains quartiers, qui risquent de se transformer en zones de non-droit.

6.Le rôle des mafias… et des islamistes. Des trafiquants de drogue instrumentalisent de jeunes désœuvrés pour tenter de « sanctuariser » leur territoire, empêcher toute mixité sociale, qui pourrait gêner leurs petits et grands trafics. De même des militants islamistes, et leurs compagnons de route gauchistes, incitent à la révolte en multipliant les discours anti-Occidentaux.

7.Travailleurs vraiment sociaux ? Certains médiateurs et travailleurs sociaux jouent un rôle remarquable dans les quartiers dits difficiles. Mais d'autres jettent de l'huile sur le feu, en relativisant la responsabilité des émeutiers. « C'est aussi la faute à la société, il faut comprendre la colère des jeunes » est leur leitmotiv. L'ambiguïté de l'attitude de certains travailleurs sociaux de terrain est rarement dénoncée. Pourtant, elle n'apaise pas les tensions.

8.Trop d'impunité. Même pour des faits gravissimes – incendie d'un commissariat, jet de pierres contre des policiers, rébellion… – il y a rarement des mandats d'arrêt. La plupart du temps, les jeunes émeutiers interpellés sont immédiatement relâchés. Cette forme d'impunité n'ouvre-t-elle pas une voie royale vers la récidive ?

9.La culture de l'excuse… une inculture. « Il faut les comprendre ! » Certains travailleurs sociaux ne sont pas les seuls à tenter d'excuser les jeunes casseurs. Divers universitaires, sociologues, criminologues, réputés « très à gauche », abondent dans le même sens. La culture de l'excuse qu'ils véhiculent n'est rien d'autre qu'une dramatique inculture. Rien ne justifie le jet de cocktails Molotov sur un commissariat.

10.Le danger du discours victimaire d'une certaine gauche : « Ces jeunes sont tellement souvent victimes du chômage, des discriminations, du racisme… qu'il n'est pas étonnant qu'ils se révoltent. » Certes, il faut se battre contre le mal-vivre de ces jeunes d'origine immigrée, encore trop souvent victimes de discriminations et du racisme. Mais les présenter systématiquement comme des victimes est un contresens. Surtout, cela les renforce dans leur conviction qu'ils ont le droit de narguer l'autorité et de casser aveuglément.

Par idéologie antisécuritaire, une partie de la gauche masque ces constats. La sécurité à Bruxelles est une affaire trop sérieuse pour être laissée aux seules mains de la gauche francophone. Amis flamands, nous avons besoin de vous. Pour que Bruxelles ne devienne pas le far west.

dimanche 2 mai 2010

Humour en djellabah

les facécies de ces boutes-en-train nous donnent un aperçu de l'humour qui nous sera autorisé quand ils auront reçu des mains de nos politiciens le pouvoir sur nos pays. Ca promet. Merci à Jean-François de nous avoir envoyé cet éloquent témoignage du meilleur de la galéjade en version "c'est bon comme là-bas, dis".