Votez, buvez, mangez, regardez bien la télé', et dormez en paix. Au prochain réveil peut-être, le camp des saints aura été envahi. Vous n'aurez qu'à vous soumettre aux nouveaux maîtres. Qui détruiront tout parce qu'ils n'ont jamais construit grand chose, et ne savent donc pas comment s'y prendre. Lamentable. Quitte à devoir disparaître puisque plus grand monde parmi ceux qui en profitent n'est prêt à la défendre et à la promouvoir, vu tout ce qu'elle a comme accomplissements flamboyants à son actif, notre bonne vieille civilisation occidentale mériterait pourtant mieux comme "sortie des artistes." En attendant, tout ce qui "branche" nos concitoyens a trait au confort personnel, plus rien n'est du niveau du projet fédérateur. Comment pourrait-il en être autrement dans ce cas? Il faut se réveiller massivement, au niveau des peuples d'Europe, ou disparaître. Les nouveaux maîtres sont déjà dans la place, le cheval de Troie (ville de l'actuelle Turquie..) est déjà installé, nos propres politiciens & grands patrons l'ont fait rentrer. Il faut se réveiller.
Les pensions incertaines d'ici vingt ans
10/09/2009 10:00
http://www.levif.be/actualite/belgique/72-56-39232/les-pensions-incertaines-d-ici-vingt-ans.html
« Ok, pour les quinze, vingt ans à venir, on n'aura pas de problème pour payer les pensions. Mais après... ». La ministre MR Sabine Laruelle tire la sonnette d'alarme : l'avenir des pensions en Belgique est incertain. Dans les colonnes des journaux du groupe Vers l'Avenir, elle envisage une nouvelle solution : la piste « belgo-suédoise ».
En Belgique, le système actuel repose sur trois piliers. Premièrement, la pension légale, celle que tout travailleur recevra une fois qu'il quittera le marché du travail après des années de bons et loyaux services.
Deuxièmement, l' « assurance groupe », un système (non-obligatoire) utilisé par exemple dans certaines entreprises, qui cotisent pour leurs employés.
Troisièmement : l'épargne-pension. On estime qu'environ 2,5 millions de belges mettraient de l'argent de côté en prévision de leurs vieux jours.
Capitaliser les pensionsSabine Laruelle propose d'étudier une quatrième possibilité, qui serait complémentaire des trois piliers actuels : un système de capitalisation des pensions, déjà mis en place en Suède. En clair, le travailleur verrait une partie de son salaire retenue afin de financer lui-même sa retraite.
Selon la ministre, tant que le nombre de personnes actives sur le marché du travail est supérieur au nombre de pensionnés, le fonctionnement actuel ne pose pas de problème. Mais d'ici une vingtaine d'année, ce rapport pourrait s'inverser à cause du vieillissement de la population. D'où la nécessité d'envisager de nouvelles pistes.
Pas de défiscalisation de l'épargne-pension !
Sabine Laruelle rejette par contre catégoriquement une autre solution envisagée : la défiscalisation de l'épargne-pension. Une formule qui, selon certains, permettrait de gagner environ 10 millions d'euros. « C'est non ! », a lancé la ministre ce jeudi sur les ondes de Bel RTL. « Toucher à la fiscalisation de l'épargne-pension, ce serait toucher à ceux qui travaillent et je m'y oppose ! ».
La ministre, qui partage avec Michel Daerden (PS) les compétences en matière de pension, présentera son projet « belgo-suédois » à la conférence nationale pensions qui livrera son premier rapport intermédiaire la semaine prochaine et qui devrait clôturer ses travaux à l'horizon 2010.
LeVif.be, avec Belga
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