Il eut pourtant été facile au personnel de cet hôpital de dire "non" à cet individu, et de l'envoyer se faire soigner en Arabie Séoudite par exemple - en tapis volant, il y serait vite arrivé.
Seulement voilà, dhimmitude oblige, on accepte que les esclaves féminines de ces "gens-là" débarquent déguisées en "zorros" malgré que ce ne soit pas carnaval, de fil en aiguille on va toujours plus loin.
Bref, on se courbe devant eux.
Et puis on s'étonne qu'ils en profitent pour nous en....
CLINIQUE DE BOURGOIN-JALLIEU
Le crucifix de la discorde
Vive effervescence lundi en fin d'après-midi dans la chambre 322 de la clinique Saint-Vincent-de-Paul à Bourgoin-Jallieu. Il est 17h 30 quand de violents éclats de voix retentissent dans la pièce où une fillette est hospitalisée. Avant que le personnel médical n'effectue des soins sur la fillette qui a subi le matin même dans cet établissement une opération chirurgicale programmée, le père, de confession musulmane, exige le retrait du crucifix accroché au mur.
« Une demande surprenante de la part d'une famille qui a choisi librement notre établissement »
« Pendant près d'un quart d'heure, le père, en présence de son épouse, s'est emporté verbalement, exigeant que le crucifix soit décroché », raconte un témoin des éclats de voix. Alors que l'infirmière use de toute sa diplomatie afin d'apaiser les esprits, le crucifix est finalement enlevé du mur. Dans l'intérêt des soins dispensés à l'enfant.
Dès hier matin, la direction de l'établissement a été informée de l'incident. « Quand les gens choisissent d'être soignés dans notre établissement, ils le font en toute connaissance de cause. Ils savent qu'ils sont dans une maternité catholique. Ceci n'est nullement caché : c'est d'ailleurs parfaitement inscrit à l'entrée de l'établissement, tout comme dans le livret d'accueil. Les petites soeurs des maternités catholiques évoluent en vêtement religieux dans les services, la cloche visible depuis les chambres sonne trois coups à chaque naissance. Cette demande est surprenante de la part d'une famille qui a choisi librement notre établissement », affirme Marie-Thérèse Besson, directrice de la clinique, tout en détaillant l'objet de la discorde. « Chaque chambre est pourvue d'un crucifix. De petite taille, celui-ci n'est nullement ostentatoire, très sobre ».
Un fait qui sera évoqué devant le conseil d'éthique
Elle estime d'autre part que « l'aide-soignante a su ce qu'il fallait faire » afin que la situation ne s'envenime pas.
Cet incident devrait être évoqué au prochain comité d'éthique dont s'est dotée l'Alliance des maternités catholiques dont est membre la clinique Saint-Vincent-de-Paul de Bourgoin-Jallieu. « Nous sommes ponctuellement confrontés à ce type de situation dans chacune de nos institutions », expose soeur Marie-Mathieu, présidente du conseil d'administration de l'établissement. Se réunissant plusieurs fois par an, ce comité rassemble des religieuses, des personnalités civiles, des philosophes, des juristes mais également des représentants du corps médical de chaque établissement.
Le dernier événement porté à sa connaissance remonte à plusieurs mois. Dans un établissement d'Aix-en-Provence, un père a brisé un crucifix en le jetant au sol puis l'a jeté à la poubelle. Un comportement qui n'avait pas été toléré.
« Pourquoi avoir choisi notre établissement, alors que la famille était visiblement allergique aux signes religieux ? », s'interroge cependant le personnel de l'établissement berjallien, tout en dénonçant une dérive d'une société de moins en moins respectueuse des convictions de chacun. « Nous accueillons très régulièrement des femmes musulmanes, voilées, et tout se passe normalement », assure la directrice.
Regrettant cet incident, soeur Marie-Mathieu estime qu'il va à l'encontre de l'un des fondements de l'établissement : le respect mutuel. « La clinique accueille et respecte tout un chacun avec ses convictions religieuses. Notre souhait est le désir de communion universelle ».
De: "john" john @ yahoo.fr
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Sujet: Un français chrétien fait scandale dans une clinique islamique en Turquie
Date: Jeudi 26 Juin 2008 10:23:35 +0200
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Un chrétien français travaillant en Turquie comme ingénieur vient faire soigner
sa fille dans la clinique islamique Al-Barrat-în, à Avanos, en Cappadoce. Le
chrétien exige, de façon véhémente, que soit retirée une gravure représentant
une scène de la vie de Mahomet, fixée au mur de la chambre de sa fille malade.
Pendant un quart d'heure, le père chrétien, en présence de madame son épouse,
s'emporte verbalement - exigeant que la gravure soit décrochée. Il obtient gain de
cause. Le directeur de la clinique, Monsieur Mehmet Ben Menfou, déclare que
cette demande est surprenante de la part d'une famille qui choisit librement
son établissement islamique.
Quand les gens choisissent d'être soignés dans son établissement ils savent qu'ils
sont dans une maternité islamique. C'est l'opinion de Monsieur Mehmet Ben Menfou.
Cependant le personnel de cette clinique islamique cède à l'exigence du père de
famille chrétien. L'affaire monte jusqu'au gouvernement turc, qui, invoquant la liberté
religieuse saisit la Cour européenne des Droits de l'Homme. La Loucra, le Mrop, la
Halte, l'Association pour la Tolérance dans les Cliniques Islamiques (ATCI) et Amnésie
International, dénoncent le comportement du chrétien français. Comportement qualifié
de raciste, islamophobe et portant atteinte à la coexistence pacifique (et tolérante)
avec les musulmans.
La présidence de la République française diffuse un communiqué dans lequel elle
présente ses excuses au peuple turc pour un comportement scandaleux, qui ne
reflète en rien l'opinion de la majorité des Français. Une cellule de crise est mise
en place afin que désormais tout non-musulman se rendant ou résidant en terre
dite d'islam soit informé de l'attitude à adopter afin d'éviter d'autres incidents de
même nature. Le gouvernement turc a accepté les excuses de la présidence
française. L'ambassadeur de France à Ankara a offert au gouvernement turc une
fresque de Mahomet retrouvée dans les sous-sols du Louvre.
http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-14443-145-7-croix-meurs-sus-au-crucifix-clinique-catholique-francaise.html