la lente descente aux Enfers continue pour la Grèce - les résultats balistiques déchargeant le policier n'y ont rien fait, la fange gauchiste veut tout détruire, les émeutes continuent. Ils ont même profané la cathédrale orthodoxe d'Athènes le soir de Noël...
Another clue in police shooting http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_politics_100008_29/12/2008_103367 The two Kalashnikov rifles used to fire on a police bus last week had not been used in Greece before, according to tests carried out by anti-terrorism experts. Sources revealed on the weekend that an examination of the bullet casings found at the scene of the shooting last Tuesday indicated that these weapons had not been used in any other attack, robbery or other criminal incident in Greece. The shots were fired from the grounds of the University of Athens’s residence halls, known as Panepistimioupolis. One bullet blew out two tires on the bus, while another struck the engine. Authorities believe that at least two people were involved in the attack and that a third person was probably acting as a lookout for the gunmen. There has been no statement so far from police on whether they believe it was the action of a domestic terrorist organization, such as Revolutionary Struggle, or an anti-establishment group that has decided to use more extreme means to make their point. Interior Minister Prokopis Pavlopoulos refrained from speculating. “Until the end of the investigation, I will not draw any conclusions,” he said in an interview with the weekly Real News. “What I can say is that criminal and provocative elements, which have no connection to the student movement and the university, are trying to cause confusion at universities but they will not succeed.” Police sources told Kathimerini that authorities are concerned that a hardcore body of domestic terrorists may be using the recent shooting of 15-year-old Alexis Grigoropoulos by a special guard as well as the events that followed it as an opportunity to recruit new blood into the organization. Pavlopoulos defended his statement on the day after the teenager was killed, in which he said the police would be “on the defensive.” “Defending does not mean you adopt a passive stance,” said Pavlopoulos. “I defend means that I protect and support.”
Quand le gouvernement réagit avec une juste fermeté contre la lie de l'humanité, il se fait taxer de fasciste.Quand il laisse les anarcho-socialistes tout casser, il se fait taxer de laxisme.Quand il prend une décision pour aider les commerçants pillés par les cohortes de la gauchiasse, les syndicats l'attaquent.Chercher l'erreur...
Ermou Street... http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_politics_100004_29/12/2008_103369 PANAYIOTIS TZAMAROS/ICON PRESS A shopper walks past unionists protesting yesterday in front of a store in Syntagma Square. Dozens of members of unions representing store employees picketed outside shops in the city center, particularly on Ermou Street, to protest against the Athens Prefecture’s decisions to allow shops to open on Sunday. The local authority said that it made the decision in an effort to help traders who had suffered lost earnings as a result of the recent riots in Athens. But the unionists fear that the move will set a precedent for further Sunday openings. The banner in the photo reads: ‘Never work on a Sunday.’
Et en Grèce comme en France ou Belgique ou ailleurs en Europe, le problème de la responsabilité des électeurs est aussi très évident. Comment donc se plaindre quand on vote TOUJOURS pour les MÊMES incompétents? Comment s'étonner de la CORRUPTION de ceux qui dispensent des "petits cadeaux" pour se faire élire, puisqu'on sait DÈS LE DÉPART qu'ils sont moralement corrompus, pour ne pas dire plus.
Time to find those worth trusting http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_columns_100016_29/12/2008_103362 The worst thing that can happen to a society is to see its institutions collapse – for the institutions are the glue that keep a society together. Regrettably, Greeks have many reasons to feel less sure about the health of the country’s institutions these days. The fact is that all the people who have been implicated in the major scandals that have made the headlines over the past few years have escaped unpunished. The judicial system has failed us. Greek universities produce worthless degrees. Moreover, our politicians are addicted to petty squabbling rather than serious problem-solving. That said, there are many reasons to feel a bit more upbeat about the future of the country. There are many police officers, judges, academics and politicians who are quietly doing their jobs, honoring the institutions they are meant to serve. We have an obligation to discover these low-key figures and appoint them to key posts. There is no need for sweeping changes. We just have to be more eclectic and make sure we pick the right people for the right jobs.
Oui, il y a des bons un peu partout, peu importe les partis, et ce sont ces gens compétents, ces bons serviteurs de la "chose publique," qu'il faut aller chercher et placer aux postes à responsabilités, à tous les échelons du pays.En Belgique par exemple, comme cadeau de Noël à la population, "ils" ont ressorti les vieux dinosaures - enfin, non, correction, ils se sont ressortis eux-mêmes de l'ombre, ces vieux briscards qui dirigent tout en sous-main depuis le hold up constitutionnel qu'ils ont organisé et accompli contre la royauté.. On croirait le psychodrame de l'élection interne du PS en France. Ce n'est pas exactement ça qui sortira ces pays du gouffre où ils se sont enfoncés. Mais les électeurs vont-ils un jour le comprendre, tant qu'il est encore un tout petit peu possible de faire marche arrière dans tant de domaines où on va droit à la catastrophe? A lire les sondages d'opinions et les résultats d'élections partielles de ci de là, on est en droit d'avoir les pires craintes en la matière.
BRUXELLES "Leterme = FAIL" "Sorry Yves, mais t’as foiré..." Le message est clair. Fail peut être ici traduit par échec... On le trouve sur un site de vente de T-shirt et autres bibelots customisables. Dès le soir de l’annonce de la démission d’Yves Leterme, l’idée de créer un T-shirt pour se moquer d’un politique démissionnaire multirécidiviste a germé dans la tête de quelques acharnés d’Internet. L’idée a donné lieu à un projet. Le projet est très vite devenu une réalité puisque depuis dimanche, il est possible d’acheter un T-shirt pour 16 ou 20$ plus les frais de port. Et si vous n’êtes pas très T-shirt, il y a le mug (la grande tasse) à 12$ , toujours plus frais de port. Vous constaterez, si vous allez sur le site, que Rudy Demotte est lui aussi victime mais parce qu’il a copié l’initiative de Barack Obama, faisant comme lui une interview vidéo hebdomadaire. Mateusz Kukulka Pour acheter le T-shirt et/ou la tasse, http://www.cafepress.com/Walifornia
restent les hommes & femmes protagonistes du dossier - et leur vie a plus d'importance en effet que toutes les péripéties et le cirque politique...
Les parents d’Yves Leterme inquiets pour sa santé (23/12/2008) http://www.dhnet.be/infos/belgique/ L’ex-Premier doit continuer à se soigner suite à son hospitalisation YPRES - Les quelque 35.000 habitants de la ville d’Ypres ne nous contrediront sans doute pas. La renommée touristique de leur patelin, situé en Flandre occidentale, vaut notamment pour son beffroi, la cathédrale Saint-Martin et son passé de cité drapière médiévale. Mais Ypres est aussi la ville d’origine d’Yves Leterme, Premier ministre démissionnaire. Nos confrères du journal flamand "Het Nieuwsblad" sont partis à la rencontre d’un couple de pensionnés, Georges, 78 ans, et Eliane, 77 ans. Ces derniers ne sont autres que les parents d’Yves Leterme. Leur témoignage rappelle que celui qui n’a convaincu personne sur un plan strictement politique reste avant tout un homme. Et un homme qui doit se soigner après son hospitalisation en février dernier pour des problèmes intestinaux. Georges Leterme assure ainsi se préoccuper “davantage pour la santé” de son fils que pour son avenir. Réaction bien logique pour des parents. Malgré les événements de ces derniers jours, les Leterme se disent naturellement convaincus des qualités de leur fils. “Il parle mieux le français que beaucoup de Wallons”, lance Georges dans les colonnes du Nieuwsblad. “Nous parlons encore souvent le français, aussi avec les enfants et les petits-enfants.” Enfin, Eliane espère pour sa part que “la vérité sera rapidement faite” sur le dossier Fortis. Pour blanchir Yves Leterme? A. C
IEPER - 'Yves stuurde ons vrijdagavond een sms'je toen hij op weg was naar de koning. Fijn dat hij aan ons dacht', vinden Georges Leterme en Eliane Bouchaert. De ouders van Yves Leterme maken zich meer zorgen over de gezondheid van hun zoon dan over zijn toekomst. 'Jullie hebben mooi weer meegebracht', begroet Georges Leterme ons. Door het grote raam hebben de ouders van de meest belaagde Belgische politicus van het moment een mooi uitzicht op het centrum van Ieper, met de kathedraal waar ze elk weekend trouw naar de mis gaan. Eerst probeerde moeder Eliane Bouchaert (77) nog de boot af te houden. Maar toen we al onze West-Vlaamse charmes in de weegschaal gooiden, duwde ma Leterme toch op het knopje en mochten we met de lift vier hoog. 'Kom binnen, ik begrijp dat jullie ook je brood moeten verdienen', schudt vader Georges Leterme (78) ons de hand. Hij zit aan de grote tafel in de woonkamer, die tegelijk zijn bureau blijkt. 'We wonen hier nu bijna vijftien jaar. Sinds we onze schilderswinkel in Zillebeke sloten. Ze noemden Yves daar de witten van de schilder ', glundert vader. Het ijs is gebroken. Voor Georges Leterme ligt Het Nieuwsblad . Met op de front de foto van zijn zoon die Belvédère binnenrijdt. 'Die foto moet genomen zijn kort nadat hij ons vrijdagavond een sms'je had gestuurd om ons gerust te stellen. Fijn dat hij in volle crisis toch even aan ons dacht. Natuurlijk wisten we wat er aan het gebeuren was. We volgen het nieuws op de voet. Hoe zou je zelf zijn? 't Is toch je jongen, niet?' zegt moeder Eliane. Sindsdien hebben ze Yves niet meer gezien of gehoord, ook al woont hij amper een paar kilometer verderop, in Sint-Jan. 'Normaal springt hij hier elk weekend eens binnen. Voor een korte babbel, maar nooit over de politiek. Hij komt voor ons, niet als politicus.' Vader knipt het tv-toestel aan. Voor De zevende dag . 'En straks volgt Mise au point op La Une . We volgen die programma's elke zondag. Eens horen wat ze te vertellen hebben', zegt Georges. 'Yves heeft het zwaar te verduren gekregen. Het zat al fout bij de start. Nochtans was hij de ideale premier. Hij spreekt beter Frans dan veel Walen. Dat heeft hij van mij. Ik ben eigenlijk een Waal, geboren in Komen. We spreken nog dikwijls Frans, ook met de kinderen en de kleinkinderen. Maar als al die geleerde heren het niet weten, wat zou ik je kunnen vertellen wat er nu moet gebeuren? 't Is een moeilijk land.' Georges was niet zo gelukkig toen zijn jongste zoon voor de politiek koos. 'De politieke microbe kreeg hij zeker niet van mij mee. Maar goed: het was zijn keuze en het is zijn leven. Mensen proberen soms via ons iets gedaan te krijgen van Yves. Maar daar beginnen we niet aan. We sturen zo iemand prompt door naar zijn medewerkers. Natuurlijk maken we ons nu zorgen, maar dan meer om zijn gezondheid. Hij valt wel op zijn pootjes. Yves heeft licenties in de rechten en bestuurswetenschappen, en een kandidatuur politieke en sociale wetenschappen. Hij zal dus wel nooit zonder werk vallen', troost vader zich. 'Wat hij ook wel van mij heeft, zeggen ze, is zijn koppigheid en zijn werklust. Ik mag dan naar de tachtig toe gaan, ik sta nog elke ochtend om 6.15 uur op. Als ik de kranten heb gelezen, trek ik naar mijn atelier in een van mijn twee garages. Om wat te klussen', aldus pa Leterme. 'Misschien brengt de kerstsfeer vrede in het Belgische huishouden. En Nieuwjaar vieren we zoals elk jaar. Met Yves, zijn zus en hun partners en kinderen. We gaan er één drinken op wat hopelijk een beter jaar mag worden voor Yves.' Moeder Leterme hoopt intussen dat de hele toestand rond Fortis snel wordt uitgeklaard. 'We zijn maar eenvoudige mensen en snappen ook niet alles van wat er de jongste weken gebeurde. Maar ik hoop dat het allemaal goed onderzocht wordt en dat de waarheid snel aan het licht komt.' Martin Tytgat
En attendant, revoilà ce "petit royaume de cocagne" où se trouve la capitale de la Communauté Européenne et le siège de tant d'institutions internationales à nouveau privé de direction politique. Pourtant, on se souviendra que lorsque la présidente (PS) du sénat de la région wallone, Anne-Marie Lizin, avait fait une intervention écrite directe auprès d'un juge pour arranger une décision judiciaire en faveur d'un de ses amis, elle n'avait pour finir pas démissionné. L'appartenance non-cachée aux Loges de ladite politicienne serait-elle l'explication réelle de sa réussite à franchir l'orage malgré des faits avérés? Pour la Belgique (comme pour tous les pays d'Europe) on se posera la seule bonne question intéressante : à quand (enfin) un retour à une véritable monarchie, seule garante de stabilité à long terme? Combien de temps faudra-t'il encore aux foules pour comprendre que des professionnels de la politique ont comme premier centre d'intérêt leur réélection, à côté du financement de leurs intérêts directs, et jamais l'intérêt supérieur de la nation?
Le roi Albert II a accepté la démission du gouvernement du Premier ministre Yves Leterme et "l'a chargé de l'expédition des affaires courantes", a annoncé lundi le palais royal dans un communiqué. Le nom de l'ancien Premier ministre Jean-Luc Dehaene, 68 ans, lui aussi chrétien-démocrate, a été cité de manière de plus en plus insistante lundi, mais n'a pas été confirmé par le palais.Le roi consultait depuis samedi les dirigeants politiques belges, pour tenter de sortir de l'impasse provoquée par la démission la veille de tout le gouvernement Leterme, conséquence de "l'affaire Fortis".Vendredi, la Cour de cassation, plus haute juridiction belge, a en effet fait part de ses soupçons selon lesquels le gouvernement a tenté de faire pression sur les juges ayant gelé la semaine précédente une partie de l'accord conclu en octobre pour sauver de la faillite la banque belgo-néerlandaise Fortis.Cette atteinte présumée à la séparation des pouvoirs a porté un coup fatal à la fragile coalition gouvernementale, déjà très divisée sur des questions comme la réforme institutionnelle. Le ministre de la Justice Jo Vandeurzen a d'abord démissionné vendredi. Peu après, Yves Leterme présentait la demission de son cabinet.Yves Leterme a assuré n'avoir rien à se reprocher, mais expliqué que les allégations de la cour de cassation "ont rendu impossible la poursuite du travail du gouvernement". Il a démenti toute intervention ou toute "action visant à entraver le cours normal de la justice".La cour d'appel de Bruxelles a suspendu deux volets majeurs de l'accord: la vente à l'Etat néerlandais des opérations de Fortis aux Pays-Bas et la vente à l'Etat belge de ses opérations en Belgique. La justice belge avait été saisie par des actionnaires, faisant valoir qu'ils n'avaient pas été consultés et que l'accord leur était défavorable.En première instance, la justice belge avait confirmé l'accord de démantèlement de Fortis, géant de la banque et de l'assurance au Benelux, accord qui prévoyait également le rachat par la banque française BNP Paribas d'une partie des actifs belges et luxembourgeois du bancassureur. Mais la cour d'appel de Bruxelles a ensuite infirmé ce jugement.L'annonce du roi Albert II ouvre la voie à de nouvelles discussions en vue de former une nouvelle coalition. Les partis de gouvernement souhaitent éviter des élections anticipées, arguant de la stabilité indispensable en ces temps de crise économique.Yves Leterme, du CD&V (chrétiens-démocrates flamands), avait formé en mars 2008 un cabinet composé de cinq partis issus des communautés wallonne et flamande. La formation de sa coalition à l'issue de laborieuses tractations avait mis un terme à une crise politique de plusieurs mois, marquée par le spectre d'une partition du pays entre néerlandophones et francophones.
Dans cette humiliation, le plus cocasse c'est que nos serviles journalistes ne disent pas grand chose de la signification profondément religieuse du geste de l'agresseur irakien, pour lui et pour toute la religion musulmane. La godasse et "chien" sont les sommets de l'injure. Lorsque les Irakiens "libérés" ont démonté la grande statue de leur ancien président Saddam Hussein, ils l'ont bombardée de chaussures. Ce n'était pas pour faire de la promotion pour "l'univers de la godasse" et "chez Ali, babouches en liquidation" mais pour pousser l'injure publique à son comble. C'est ce que George Walker Bush, président des États Unis d'Amérique, vient de subir face au monde entier, grâce aux caméras de télévision et l'incompétence absolue de ses services de sécurité. La rédaction n'a pas de sympathie particulière pour cette religion préhistorique ultra-violente, aux intentions d'invasion et de destruction de notre civilisation si évidentes, mais force est d'avouer que pour le coup, vu que l'humiliation d'un de nos plus grands dangers a été réalisée sans verser de sang de victime, on apprécie.
afp - 14.12.2008 - 19:10 - BAGDAD : Un journaliste irakien a jeté, sans l'atteindre, deux chaussures sur le président américain George W. Bush et l'a insulté au moment où ce dernier serrait la main du Premier ministre irakien dans son bureau à Bagdad. Alors que les deux hommes se rencontraient dans le bureau privé du Premier ministre Nouri al-Maliki, un journaliste irakien, assis au 3e rang, a bondi en criant "c'est le baiser de l'adieu, espèce de chien" et lancé ses chaussures, l'une après l'autre, sur le président américain. Nouri al-Maliki a esquissé un geste de protection du président américain qui n'a pas été touché. Le journaliste a été évacué manu militari par les services irakiens de sécurité.
George W.Bush espérait faire un dernier tour de piste à Bagdad pour y proclamer une sorte de victoire, aussi amère que fragile, à l'intention des historiens. Au lieu de cela, il a eu droit à un attentat symbolique : deux chaussures lancées à la figure par un des journalistes irakiens qui assistaient à sa conférence de presse avec le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki. Il n'a esquivé les projectiles que de justesse, plongeant derrière le pupitre derrière lequel il s'adressait aux médias. "Tiens, voilà ton cadeau d'adieu, espèce de chien !", a hurlé l'homme qui venait de le viser et de le rater de peu. "De la part des veuves, des orphelins et de tous ceux qui sont morts en Irak !", a eu le temps de crier l'homme, avant d'être terrassé par la sécurité, tabassé et expulsé de la salle de presse du palais gouvernemental.
L'incident aurait été comique si la guerre d'Irak n'avait été aussi tragique et sanglante. L'auteur de cet "attentat à la godasse", Muntadar al-Zaïdi, correspondant connu d'une chaîne de télévision locale, a perdu une partie de sa famille pendant la guerre et a lui-même été pris en otage par le passé. Selon le correspondant de la chaîne américaine ABC à Bagdad, Richard Engel, "il a pété les plombs". Il a aussi probablement fait ce que beaucoup d'Irakiens, d'Arabes et d'autres ont rêvé de faire sans en avoir l'occasion. Bush ne s'est pas démonté et a pris le parti de rire, annonçant que les projectiles utilisés étaient "de pointure 10". La conférence de presse a eu lieu comme si de rien n'était.
L'attaque symbolique a au moins eu le mérite de déstabiliser la tentative de Bush et de ses partisans de gommer le fiasco sanglant et coûteux, aussi bien en termes diplomatiques que budgétaires, qu'a été l'invasion de l'Irak. Arrivé à la fin de son mandat, le 43e président se démène depuis quelques semaines pour tenter de mettre le meilleur visage possible sur son bilan catastrophique. Il s'efforce de démontrer que sa décision d'envahir l'Irak n'a finalement pas été le désastre pour lequel une majorité d'Américains (et encore plus de gens hors des États-Unis) le condamnent. En se rendant à Bagdad, il espérait rappeler aux Américains, qui n'ont d'yeux que pour son successeur Barack Obama, qu'il est toujours leur président.
C'est réussi, mais pas de la manière dont il l'envisageait. Les Américains ont eu un rappel spectaculaire de la virulence de l'anti-américanisme dans le monde arabe, que l'invasion de l'Irak a alimenté. "La guerre n'est pas terminée", a admis Bush en arrivant dimanche à Bagdad. Elle est déjà la plus longue de l'histoire américaine, et s'annonce comme l'une des plus dispendieuses. Le New York Times a rendu compte, dans son édition dominicale, d'une histoire officielle, non encore publiée, de l'occupation et de la reconstruction de l'Irak. Elle n'est qu'un catalogue détaillé et accablant de 500 pages sur l'impréparation, l'incompétence et la corruption d'une administration qui a dépensé plus de 100 milliards de dollars (en plus des dépenses proprement militaires) sans autre résultat que de remettre le pays à peu près au niveau de développement qui était le sien avant l'invasion, mais des dizaines de milliers de morts plus tard.
Comme lors de ses trois précédentes visites à Bagdad, Bush s'est rendu dans la capitale irakienne comme un voleur, preuve que la situation reste instable et dangereuse en Irak malgré une amélioration incontestable. Sa visite surprise n'avait pas été annoncée, un faux programme avait même été diffusé auprès des médias pour ses activités du week-end à Washington, et Air Force One s'est envolé de la base aérienne d'Andrews sous couvert de la nuit samedi soir. Il n'était accompagné que d'une poignée de journalistes. Ses visites chez le président Talabani puis auprès du Premier ministre Maliki, ont cependant été retransmises en direct par la télévision irakienne. Le but officiel de ce voyage était de signer solennellement le nouveau traité de sécurité entre les États-Unis et l'Irak, qui légalise le maintien du corps expéditionnaire américain en Irak au-delà de la fin du mandat des Nations unies, le 1er janvier prochain, et jusqu'en 2011 au moins.
Bush se félicite de léguer à Obama un "Irak plus libre"
Il s'agit bien, comme l'a affirmé le conseiller à la Sécurité nationale, Stephen Hadley, d'un "document remarquable". Et cet accord a été rendu possible par les succès de "l'escalade", (le surge ), la stratégie mise en oeuvre depuis 2007, qui a permis aux forces américaines et irakiennes de briser les reins de l'insurrection fomentée par les islamistes radicaux proches d'al-Qaeda, ainsi que de faire reculer la violence des milices chiites soutenues et encouragées par l'Iran. La Maison-Blanche et ses partisans claironnent à présent que "l'escalade" restera comme "un des plus grands succès de l'histoire militaire américaine". Bush s'est même félicité dimanche, devant un millier de GI's réunis au Camp Victory, de léguer à son successeur et au monde un "Irak formidablement plus libre, plus sûr et en meilleur état que celui que nous avons trouvé il y a huit ans", après avoir renversé le dictateur Saddam Hussein. Il est incontestable que la violence est aujourd'hui à son plus bas niveau en Irak depuis l'invasion de 2003, et que les pertes américaines y sont désormais inférieures à celles des forces de l'Otan en Afghanistan.
Le fait même que "l'attentat à la godasse" ait été filmé et diffusé (alors que la première réaction du gouvernement de Bagdad, très embarrassé, avait été de saisir la bande enregistrée et d'en empêcher la distribution) prouve par ailleurs, de même que les vifs débats qui ont eu lieu au Parlement autour du traité de sécurité avec les États-Unis, que l'Irak vit à présent sous un régime plus démocratique que ne l'était la tyrannie sanglante de Saddam Hussein. Ce désagrément n'en pose pas moins la question de la nécessité et du bilan global de cette guerre, dont la majorité des Américains, et des opinions dans le monde entier, considèrent qu'elle a été une erreur tragique, qu'elle a affaibli l'influence des États-Unis dans le monde, et n'a en rien diminué la dangerosité du terrorisme islamiste.
Lors d'une récente interview sur ABC, Bush a précisé que "le plus grand regret" de sa présidence restera "l'erreur" de ses propres services de renseignements au sujet de l'arsenal (inexistant) d'armes de destruction massive que Saddam était soupçonné d'avoir accumulées, et qu'il avait invoquées pour justifier la guerre. Mais cet aveu est surtout une manière d'exonérer sa propre responsabilité politique, et d'esquiver la question de son refus d'écouter ses alliés (comme la France) et les nombreux Américains qui étaient hostiles à un conflit. Dimanche soir, il a de nouveau répété que "dans le monde de l'après 11-Septembre", Saddam Hussein était "un danger", et que la guerre avait été "nécessaire pour la sécurité des États-Unis, les espoirs de l'Irak et la paix dans le monde"... Il a même trouvé "bizarre" l'acte du journaliste irakien, et s'est demandé quels pouvaient bien être "ses griefs..."
France-Amérique avec AFP Publié le 14 décembre 2008
Un journaliste irakien a jeté, sans l'atteindre, deux chaussures sur le président américain George W. Bush et l'a insulté au moment où ce dernier serrait la main du Premier ministre irakien dans son bureau à Bagdad.
Alors que George Bush rencontrait le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki dans le bureau privé de ce dernier, un journaliste irakien, assis au 3e rang, a bondi en criant "c'est le baiser de l'adieu, espèce de chien" et lancé ses chaussures, l'une après l'autre, sur le président américain. Nouri al-Maliki a esquissé un geste de protection du président américain qui n'a pas été touché.
Le journaliste irakien, Mountazer al-Zaïdi, de la chaîne sunnite et antiaméricaine al-Bagdadia qui diffuse à partir du Caire, a été évacué de force par les services de sécurité irakiens et américains, en criant à l'adresse de George W. Bush : "vous êtes responsable de la mort de milliers d'Irakiens".
Le président américain a d'abord souri, puis a repris un visage sérieux en voyant le nombre d'agents mobilisés. Des journalistes irakiens se sont levés pour s'excuser auprès du président américain. "Ne vous inquiétez pas. Merci de vous excuser au nom du peuple irakien. Cela ne m'a pas dérangé. Et si vous voulez tout savoir, c'était une chaussure de taille 10 (44 en taille française, ndlr)", a plaisanté M. Bush.
Interrogé ensuite par un journaliste américain, George W. Bush a assuré qu'il n'avait "pas ressenti la moindre menace". "Et alors, cet homme a jeté une chaussure sur moi ? C'est une manière d'attirer l'attention", a-t-il ajouté.
Des traces de sang étaient visibles ensuite à l'endroit où l'homme a été emporté par les agents de sécurité.
Pour illustrer cette si judicieuse maxime, une BD nous a été envoyée par "HA", un de nos lecteurs des Flandres. Les plus âgés d'entre nous se souviendront que cette BD a été reprise au cinéma dans un film assez caustique avec Gérard Lanvin et Michel Blanc, appelé "Tranches de vie." Cette comédie un peu leste de François Leterrier date déjà de 1984. Regardez la situation actuelle en bien des grandes villes de France, d'Allemagne, de Belgique, des Pays-Bas, d'Angleterre, etc. Voyez à quel point cet épisode-là était prémonitoire! Et rien n'est fait pour que ça change, pas un patriote à se voir élu. Les gens élisent ceux qui leur promettent des lendemains qui chantent (tout en les vendant à ceux qui vont les écraser). Les gens marchent la tête baissée sur la terre de leurs ancêtres, ils courbent l'échine devant leur vainqueur... un adversaire implacable qui a vaincu sans même devoir livrer combat...
Les gauchistes déclenchent à nouveau des vagues de violence en Grèce. Étonnament, quand le PASOK (PS grec) est au pouvoir, que les gens ont autant de soucis sociaux, de chômage, etc, car la crise est mondiale et date du choc pétrolier de 1973, ces mêmes mouvements gauchistes ne causent aucune émeute. Dès que Nea Demokratia, le parti de droite, est au pouvoir, c'est le déclenchement régulier de violences urbaines "spontanées," comme on le voit dans ces opérations de guérilla où tout un arsenal est rapidement disponible, comme on le voit avec les attentats à la bombe assez réguliers et toujours venant de ces groupes gauchistes.. Voyez le commanditaire, il ne se cache même pas : le Pasok attise le feu et accusant le gouvernement démocratiquement élu de tous les péchés d'Israël. Démocratie version socialiste. Enfin, avec l'internationale socialiste et le national-socialisme, quelle que soit la version, on sait où ça finit toujours par mener..
Ce qui est symptômatique de l'étendue de la pourriture morale de notre société, ce sont les commentaires des médias. Lundi matin au journal de 7h sur Europe 1, on expliquait brièvement que le jeune abattu par le policier appartenait à un groupe qui était occupé à agresser cette patrouille, lui balançant des cailloux. On a donc une agression bien claire, et une légitime défense. Et les parents du jeune bandit devraient se voir condamnés pour avoir si mal élevé leur enfant, et pour le laisser traîner tard la nuit en rue (ils n'écoutent donc jamais Johnny Halliday?) Quelques heures plus tard, le parti politique gauchiste ayant appelé à la démission de tout le gouvernement - on se demande bien pourquoi - du coup, tous nos commentateurs et journalistes oublient le déclencheur et prennent fait et cause pour les émeutiers. Un peu comme en banlieue de Paris, lorsque 3 jeunes crapules se sont enfuis, poursuivis par la police, et se sont planqués dans un transformateur de rue. Montrant au passage que même la signalétique imagée, ils ne savent pas la lire, plus assidus à la guerre de rue, au pillage, aux agressions de petits vieux, à la démolition de voitures d'ouvriers, qu'aux études. Pourtant, ces délinquants verront toute la presse et tout le gratin politique s'émouvoir de leur triste sort. Jamais une larme pour les victimes, toujours pour les coupables. Voilà LA perversion qui pourrit notre société moderne.
ATHENS (AFP)--Fresh violence broke out in Athens on Monday after a weekend of rioting, with youths smashing up stores on the sidelines of a leftist demo called to protest a teen pupil's fatal shooting by police. The youths smashed shop windows and damaged the entrance of an Athens hotel during a demonstration called by leftists and unions to protest against the killing of 15-year-old pupil Alexis Grigoropoulos Saturday. Another group of demonstrators has been cornered by police in a square near the Athens Polytechnic university, and are damaging neighboring shops, state television NET reported. Two separate protests had been called for Monday evening by the leftist Syriza party and the KKE Communists. Ahead of the demos, riot police fired tear gas and staged a baton charge to break up hundreds of youth demonstrators in central Athens in the latest day of troubles sparked by the shooting death of a 15-year boy. A wave of violence has engulfed Greece for the past three days after the fatal shooting of Grigoropoulos by police on Saturday. Two officers have been arrested over the killing.
Comme les "jeunes" des banlieues de France et de Navare, les pillards ravagent Athènes. La chienlit tient le haut du pavé, et l'intelligentsia, qui ne porte jamais aussi mal son nom, la soutient.
Looters rampage in Athens http://iafrica2.iac.iafrica.com/pls/cms/iac.page?p_t1=2662&p_t2=6437&p_t3=0&p_t4=0&p_dynamic=YP&p_content_id=1367401&p_site_id=139 New student protests were planned on Tuesday after hundreds of youths looted stores and attacked hotels in Athens in a third day of nationwide rioting sparked by the fatal police shooting of a schoolboy. Prime Minister Costas Karamanlis called a cabinet crisis meeting as police fired volleys of tear gas in a bid to clear the centre of the Greek capital. Karamanlis vowed to end the country's worst unrest in decades but a government spokesperson denied reports that the government planned to declare martial law despite fresh student protests planned on Tuesday.
Dozens injured The unrest has left dozens injured and hundreds of buildings destroyed or badly damaged across the country. Greeks abroad also staged demonstrations in London, where five people were arrested, Berlin and Nicosia. Ten people were treated in Athens hospitals for respiratory troubles caused by the blanket of tear gas over the city as the third day of battles for control of the streets went on into the night on Monday, a health ministry spokesperson said. After the end of a demonstration by left-wing activists against the death of 15-year-old Alexis Grigoropoulos, groups of youths spread out across the centre of the city. Hooded and helmeted youths roamed the plush Kolonaki district, smashing stores near the Mexican embassy and British Council building before retreating. Protesters set fire to the lobby of the Hotel Athens Plaza on central Constitution Square. Earlier, about 300 youths stoned riot police outside the Greek parliament and security forces confronted unrest in cities across Greece throughout the day. In the northern city of Salonika, a policeman was wounded by a firebomb and hundreds of youths attacked cars and looted dozens of stores. The unrest also went on into the night in Greece's second biggest city.
Banks and shops attacked There were also clashes in the central city of Trikala, where dozens of youths broke off from a student demonstration and attacked banks, shops and cars on the city's main square. The unrest spread to the popular resort islands of Rhodes where police fired tear gas at protesting students and Crete where police buildings were pelted with stones. Students have called their own rally in Athens on Tuesday to protest at the killing of the teenager during incidents with police on Saturday. A general strike on Wednesday, originally intended to protest against the government, could become a new focus of the unrest. As despairing traders sifted through the wreckage left by weekend rioting, Karamanlis appeared on national television to denounce "the extremist elements who exploited the tragedy. "The unacceptable and dangerous events cannot and will not be tolerated," said the conservative prime minister, whose popularity ratings have plummeted in recent months because of the state of the economy and a number of scandals.
'I apologise to the people' At the end of the emergency cabinet meeting Interior Minister Prokopis Pavlopoulos defended police action against the riots saying it was intended to "protect human life and property." "The state machinery has protected more things than those that were threatened ... it is there to protect human life and everything else, without threatening democracy," the minister said. But he added: "I am not satisfied and I apologise to the people." Several universities in Athens and Salonika were ordered closed and the education ministry said high schools would also remain closed on Tuesday in tribute to the slain boy. Greek police have arrested two officers involved in the shooting of the teenager in the Athens district of Exarchia on Saturday. Grigoropoulos was among youths who had allegedly thrown stones at a police car in the Exarchia district of Athens. One of the two officers left his vehicle to fire three times at the teenager, who was hit in the chest, witnesses said. He was confirmed dead in a nearby hospital. Epaminondas Korkoneas (37) who allegedly fired the shots, and his patrol partner Vassilis Saraliotis (31) were both detained. Exarchia is a rebellious neighbourhood in central Athens, which is widely known as an "anarchist stronghold". In 1985 another 15-year-old, Michalis Kaltezas, was shot by a police officer, triggering violent clashes in Exarchia, which was also the scene of student protests in 1973, which led to the fall of the country's military dictatorship in 1974.
Greek protesters torch major Athens department store http://uk.news.yahoo.com/22/20081208/tpl-uk-greece-shooting-fires-sb-9e08e31.html Yesterday, 06:26 pm Reporting by Daniel Flynn Protesters set fire to a major department store in central Athens and torched the city's giant Christmas tree outside parliament on Monday as anti-government protests worsened. Thousands of protesters smashed the windows of banks and businesses, government ministries, and set fire to garbage containers, filling the air with acrid smoke in a third day of protests against the shooting of a 15-year-old on Saturday.
voiture de pompiers incendiée belle réaction démocratique, merci le PASOK, merci nos médias qui présentent ça comme une révolte populaire...
Riots in Greece calm down, clashes continue in Athens http://news.yahoo.com/s/afp/20081208/ts_afp/greeceprotestdemos_081208054848 Mon Dec 8, 12:48 am ET ATHENS, (AFP) – Large-scale rioting across Greece calmed down early Monday, with the only incidents occurring in the downtown Exarchia district of Athens where police gunned down a 15-year-old boy sparking the original protests. Small groups of youths continued to occupy campuses in central Athens near Exarchia, throwing stones and molotov cocktails at riot police to protest against the shooting Saturday of Andreas Grigoropoulos. On Sunday, thousands of protesters battled police in central Athens, smashing the windows of shops and businesses with petrol bombs and forcing police to use tear gas to disperse rioters. By late evening, large groups of students were occupying campuses in the centre of the capital and in the northern city of Salonika, with petrol bombs being hurled at Salonika police. Around 200 demonstrators in south-western Patras set fire to garbage cans and set up barricades in the city centre, with a police officer in Patras hospitalised after being beaten up by a group of youths. In north-western Ioannina, around 50 youths also hurled Molotov cocktails and rocks at banks and shops before being chased by riot police. Thirteen police and six other persons were injured while some 20 demonstrators were arrested. The two officers involved in Grigoropoulos' shooting were arrested by their bosses Sunday, with the city's Exarchia district police chief suspended.
This undated photo made at a unknown location shows 15-year-old Alexandros Grigoropoulos. Some of the worst riots Greece has seen in years began within hours of the fatal shooting of Alexandros Grigoropoulos on Saturday night in the central Athens district of Exarchia. The circumstances surrounding the shooting of the teenager Grigoropoulos are still unclear. Two policemen claimed they had come under attack by a group of about 30 youths, and that three warning shots and a stun grenade were fired when they sought out the group a few minutes later. But witnesses have disputed the officers' accounts, telling Greek media that the police intended to shoot the youths. One officer has been charged with murder and the other as an accomplice. (AP Photo/Eurokinissi)
Pauvre gosse laissé à lui-même.. Le dessin sur le pull que porte ce gamin en dit long. Quelle éducation! Et il faut croire les journalistes. Il est tout à fait "normal," voire "logique" que deux policiers (2) en patrouille dans le quartier de la fange gauchiste, où sans cesse on les provoque, on baffoue la loi, on les agresse, etc, vont avoir l'intention de tuer un gamin qui traîne innocement en rue à jouer à la marelle avec ses charmants petits copains à 21h alors que le soir est déjà tombé et que les frimas sont bien là. Il est logique aussi que les charmants habitants du coin, tous honorables comme de bien entendu, vont dire la vérité vraie sur ce qui s'est passé.
Des manifestants anti-gouvernement? Non, ils attaquent TOUT, détruisent TOUT, y compris les véhicules de pompier, les maisons des pauvres, les voitures des petits, TOUT. Ce sont des chacals. C'est l'anarchie. C'est ça que le parti socialiste grec, le PASOK, soutient de toutes ses forces, furieux d'avoir perdu les élections. A côté de ça, les quelques scandales de népotisme et de corruption, habituels dans tout le pourtour méditéranéen, font figure de gag façon "Bécassine fait de la politique." Ici, des dizaines de milliers de citoyens se voient privés par cette racaille de leurs moyens de subsistance, de transport, d'habitation. Hopitaux, ambulances, voitures de pompiers, etc, tout ce qui est détruit nuira à la qualité de vie du citoyen. Voilà la vérité.
Protests continue in Athens student district after looters' rampage http://news.yahoo.com/s/afp/20081209/wl_afp/greeceviolence_081209064700 by Catherine Boitard ATHENS (AFP) – Tension continued Tuesday in Athens as demonstrators and police faced off in the student district after a night of urban violence, the third since the fatal police shooting of a schoolboy. About 100 youths holed up in the polytechnic college near the national archaeological museum continued to badger the security forces, who countered with tear gas, a police source said. But calm returned to the rest of the city centre, the scene until the small hours Tuesday of clashes, vandalism and looting of dozens of shops, banks and public buildings in an atmosphere rendered insufferable by tear gas. Tension also dropped in Salonika to the north and the other cities hit by a wave of destruction and looting Monday night -- Patras in the Peloponnese, Larissa in the centre, Canee in Crete and Ioannina in the north west. Prime Minister Costas Karamanlis called a cabinet crisis meeting late Monday as police fired volleys of tear gas in a bid to clear the centre of the Greek capital. Karamanlis vowed to end the country's worst unrest in decades but a government spokesman denied reports that the government planned to declare martial law despite fresh student protests planned Tuesday. The unrest has left dozens injured and hundreds of buildings destroyed or badly damaged across the country. Greeks abroad also staged demonstrations in London, where five people were arrested, Berlin and Nicosia. Ten people were treated in Athens hospitals for respiratory troubles caused by the blanket of tear gas over the city as the third day of battles for control of the streets went on into the night Monday, a health ministry spokesman said. After the end of a demonstration by left-wing activists against the death of 15-year-old Alexis Grigoropoulos, groups of youths spread out across the centre of the city. Hooded and helmeted youths roamed the plush Kolonaki district, smashing stores near the Mexican embassy and British Council building before retreating. Protesters set fire to the lobby of the Hotel Athens Plaza on central Constitution Square. In Salonika, a policeman was wounded by a firebomb and hundreds of youths attacked cars and looted dozens of stores. The unrest also went on into the night in Greece's second biggest city. Students have called their own rally in Athens on Tuesday to protest at the killing of the teenager during incidents with police on Saturday. A general strike on Wednesday, originally intended to protest against the government, could become a new focus of the unrest. As despairing traders sifted through the wreckage left by weekend rioting, Karamanlis appeared on national television to denounce "the extremist elements who exploited the tragedy. "The unacceptable and dangerous events cannot and will not be tolerated," said the conservative prime minister, whose popularity ratings have plummeted in recent months because of the state of the economy and a number of scandals. At the end of the emergency cabinet meeting Interior Minister Prokopis Pavlopoulos defended police action against the riots saying it was intended to "protect human life and property." But he added: "I am not satisfied and I apologise to the people." Several universities in Athens and Salonika were ordered closed and the education ministry said high schools would also remain closed on Tuesday in tribute to the slain boy. Greek police have arrested two officers involved in the shooting of the teenager in the Athens district of Exarchia on Saturday. Grigoropoulos was among youths who had allegedly thrown stones at a police car in the Exarchia district of Athens. One of the two officers left his vehicle to fire three times at the teenager, who was hit in the chest, witnesses said. He was confirmed dead in a nearby hospital. Epaminondas Korkoneas, 37, who allegedly fired the shots, and his patrol partner Vassilis Saraliotis, 31, were both detained. Exarchia is a rebellious neighbourhood in central Athens, which is widely known as an "anarchist stronghold". In 1985 another 15-year-old, Michalis Kaltezas, was shot by a police officer, triggering violent clashes in Exarchia, which was also the scene of student protests in 1973, which led to the fall of the country's military dictatorship in 1974.
quel triste et scandaleuse idée, ce diaporama trouvé sur youtube utilise l'hymne national grec pour illustrer les attaques crapuleuses de la fange gauchiste (excusez le pléonasme). Puis des chants anars', ça c'est honnête, ça montre bien qui fait quoi. Car le chant national parle de cette liberté si chèrement conquise, sur l'occupant musulman qui faisait peser un joug sanglant depuis 4 siècles sur la Grèce. Comme si on pouvait comparer 4 siècles de dictature musulmane à la légitime volonté de l'État démocratique de voir la loi votée pour tous être aussi appliquée dans ce quartier de chienlit!! Non, il faut dire les choses telles qu'elles sont : nous sommes encore une fois confrontés à une insurrection gauchiste, à cette volonté infernale de vouloir prendre le pouvoir par la force contre le verdict des urnes, et à vouloir écraser les pays sous leurs diktats.
Protesters in the northern port city of Thessaloniki, Greece, on Sunday. (Nikolas Giakoumidis/The Associated Press) [note de la rédaction : de braves petits gars, bien studieux, bien élevés..]
ATHENS: Militant youth mounted fresh attacks against the Greek police Sunday, marring at least two marches by demonstrators angered over the death of a teenager in a police shooting and destroying scores of shops, cars and businesses throughout the country. The violence rattled Athens and Thessaloniki, the second-largest Greek city, where black-clad youths hurled gasoline bombs, rocks and clubs at the police, sending hundreds of bystanders and peaceful protestors to a scramble. In Athens, riot police officers retaliated, firing several rounds of tear gas that cloaked the Greek capital in acrid gray smoke. At least one apartment block was evacuated after masked youth torched a car dealership on the lower level and the ensuing flames licked up to the balconies of residents, the private television state Alpha reported. Stylianos Volirakos, an Athens police spokesman said "dozens" of officers had been injured in their bid to seal off streets around the Athens Polytechic Institute, where scores of rioters erected makeshift barricades using blazing trash bins. It remained unclear whether the authorities would move to storm the state university. "This is an order that can only come from high up," Volirakos said. About 3,000 peaceful protestors managed to peel away from the Sunday riots, rallying outside the National Museum near the area where the 15-year-old was shot. The riots, triggered late Saturday when a small group of youths attacked a police car in central Athens, sparked a spree of violence that ripped through the country. "We've never seen anything like this," said a senior police official who requested anonymity because of his involvement in the investigation. "The tension is so thick you can almost cut it with a knife." The circumstances surrounding the fatal shooting remained unclear.
A police statement issued early Sunday said the shooting had taken place when two officers were targeted by about 30 youths - many of them hurling stones - while patrolling the central district of Exarchia, an unruly haven for far-left youths, including anarchists.
Both officers left their car to confront the rioters, "firing three shots that resulted in the death of the minor," according to the statement.
Private Greek media and a Web site popular among leftist youths, www.indymedia.org, said the teenager had been shot in the chest and died while being transferred to a hospital.
Exarchia, a bohemian haunt favored by leftist intellectuals and artists, has long troubled Greece's security apparatus for drawing large crowds violent youth, including anarchists and extremists resisting police presence.
The district is a regular flash point of trouble between the police and leftist gangs.
Both officers involved in the Saturday shooting have been suspended and senior officials vowed "exemplary punishment" for anyone found responsible. "It is inconceivable for there not to be punishment when a person, let alone a minor, loses their life," said Interior Minister Prokopis Pavlopoulos. "The loss of life," he told an urgent news conference on Sunday, "is something that is inconceivable in a democracy." The deadly shooting sparked widespread riots, with hundreds of militant youth storming the streets of Athens within hours of the incident, hurling fire bombs, rocks and slabs of concrete at police officers who retaliated with tear gas. Private television networks broke into scheduling programming, broadcasting violent images of street fights, the worse in recent years. Black-clad youth were seen smashing storefronts, targeting banks, torching dozens of garbage containers and cars lined along the meandering streets of the main Athens commercial district. Similar protests rattled Thessaloniki and a string of other Greek cities, including Chania on the island of Crete. No casualties were reported, but the overnight riots left Athens and other major cities strewn with shattered glass, burnt appliances and a stinging stench of tear gas. At least six people were arrested for looting department stores and boutiques. The authorities in Athens braced for heated protests at scheduled demonstrations. Pavlopoulos tendered his resignation early Sunday but it was not accepted by the Greek Prime Minister. He called for restraint during those rallies. "People have the right to protest and will do so, but while the pain and grief caused by the minor's death is understandable," he said, no outrage "can lead to the violence and destruction of private property that was witnessed."
Les politiciens au pouvoir, sous la pression médiatique et de l'opposition politique, s'en prennent donc aux policiers. Les seuls témoins non-policiers sont la racaille sévissant dans cette zone de non-droit bien connue. Ce sont donc des crapules qui vont être élevés au rang de témoins de moralité pour leur copain mort "dans l'exercice de ses fonctions de prédateur." Toute vie humaine perdue est une mort de trop. Pourquoi cependant faut-il s'en prendre à ceux qui ont pour difficile mission de défendre la société? Et pourquoi pas à ceux qui l'attaquent, à ceux qui laissent leurs gosses faire des conneries? Car on n'est pas à l'attaque dans un groupe anarchiste dès le premier soir, c'est un jeune déjà aguerrit à la guerre civile qui est mort, sinon il aurait cavalé dès le premier coup de semonce. Oui, on va encore laisser le problème subsister. Après tout, la Grèce étant dans la Communauté Européenne, les erreurs politiques qu'on voit en France ou Allemagne ou Belgique finiront bien par s'y retrouver, intégralement. Tant que le citoyen n'aura pas compris qu'il ne faut pas voter pour celui qui lui promet des lendemains qui chantent sans devoir se fatiguer..
A Berlin, la racaille a envahi le consulat de Grèce, et la police ne les a pas embastillés sur le champ, comme il convient si on veut juguler le problème. Voilà comment on encourage la chienlit, comment on lui permet de progresser dans toute l'Europe.
Battus aux élections démocratiques de 2007, qui ont vu la reconduction du gouvernement de droite, les gauchistes profitent des émeutes pour tenter de se refaire électoralement parlant...
L'opposition grecque appelle à des élections anticipées http://fr.news.yahoo.com/3/20081209/twl-grce-police-emeutes-opposition-1be00ca.html Après trois nuits d'émeutes en Grèce, l'opposition appelle à des élections anticipées. Le chef du Parti socialiste George Papandreou a estimé mardi que le gouvernement conservateur de Costas Karamanlis n'était plus à même de protéger la population des violences des émeutiers. Voitures brûlées, vitrines brisées, magasins pillés, banques incendiées se comptaient par centaines mardi. Les violences ont touché une douzaine de villes dont Athènes et Thessalonique ainsi que la Crète ou encore Corfou. Ces émeutes, les pires qu'ait connues la Grèce depuis des années, ont éclaté samedi soir après le décès d'Alexandros Grigoropoulos, 15 ans, dans le quartier athénien d'Exarchia. Deux policiers disent avoir été pris pour cibles par une trentaine de jeunes et avoir alors tiré une grenade assourdissante et trois coups de semonce. Cependant, des témoins contredisent leur version, affirmant que l'un d'eux a sciemment visé les protestataires. Les deux agents ont été arrêtés et inculpés, l'un de meurtre et l'autre de complicité. Ecoles et universités sont fermées ce mardi, jour où doit être enterré Alexandros Grigoropoulos dans la banlieue d'Athènes. AP
ET APPELLENT AUX MANIFS... Ce sont eux les commanditaires de toute cette anarchie, c'est limpide.
La Grèce sous tension avant les obsèques de l'adolescent tué par un policier http://fr.news.yahoo.com/2/20081209/twl-la-grece-sous-tension-avant-les-obse-4bdc673.html Catherine BOITARD La Grèce se préparait mardi sous tension aux obsèques de l'adolescent tué par un policier samedi, qui font craindre une nouvelle flambée de violences urbaines malgré l'appel à l'unité de la nation lancé par le Premier ministre, Costas Caramanlis.
Alexis Grigoropoulos, 15 ans, dont la mort samedi sous les balles d'un policier a déclenché les violences, devait être enterré à 15h00 (13h00 GMT) à Palio Faliro, une banlieue de la capitale proche du grand port du Pirée où un millier de personnes avaient commencé à se rassembler en début d'après-midi. La crise, qui a affaibli le gouvernement du Premier ministre conservateur et révèle un profond malaise de la jeunesse, prend de jour en jour une tournure plus politique, avec mardi un appel à la démission du gouvernement lancé par le leader de l'opposition socialiste, Georges Papandréou. Dans tout le pays, les collèges et lycées sont restés fermés mardi en signe de deuil, sur décision du gouvernement. A Athènes, de nouveaux incidents ont éclaté à la mi-journée, alors que s'achevait un défilé dans le centre-ville de milliers de lycéens et enseignants. Des manifestants ont lancé un cocktail Molotov et divers projectiles sur les forces de l'ordre, qui barraient l'accès au Parlement et ont ensuite repoussé la foule en tirant des gaz lacrymogènes. A Salonique, la deuxième ville du pays, 2.000 manifestants ont eux aussi été repoussés à coup de gaz lacrymogènes par des policiers, auparavant visés par une pluie de projectiles. D'autres manifestations étaient attendues dans la soirée, alors que la tension restait vive dans le quartier étudiant de la capitale. Costas Caramanlis a lancé mardi matin un appel à l'unité de la nation et du monde politique contre les fauteurs de troubles. "Le monde politique doit unanimement et catégoriquement condamner et isoler les auteurs des destructions. C'est notre devoir démocratique, c'est ce qu'exigent les citoyens, et c'est ce qu'impose notre devoir national", a-t-il affirmé, après une brève entrevue avec le chef de l'Etat, Carolos Papoulias. Mais Georges Papandréou, qu'il a ensuite rencontré, a décliné la main tendue: il a réclamé la démission du gouvernement conservateur, réélu en septembre 2007, et la tenue d'élections. M. Caramanlis devait aussi s'entretenir avec les dirigeants de l'opposition communiste, de la gauche radicale et de l'extrême-droite. Dans sa première intervention lundi, il avait durci le ton, soulignant que les troubles "ne peuvent pas et ne seront pas tolérés". Ces menaces n'ont pas empêché une troisième nuit de violences lundi soir dans les centres d'Athènes et Salonique, avec de nombreux magasins et banques vandalisés et des affrontements entre jeunes et forces de l'ordre, signe selon les observateurs d'un profond malaise et d'une radicalisation de la jeunesse grecque minée par l'insécurité économique, le chômage et les bas salaires.
Ces violences ont éclaté en marge de manifestations de protestation contre la bavure policière qui ont réuni plusieurs milliers de personnes à l'appel de la gauche parlementaire.
Cette explosion de colère met en difficulté le gouvernement de M. Caramanlis, déjà déstabilisé par une série de scandales et les retombées de la crise économique, et désormais devancé dans les sondages, pour la première fois depuis cinq ans, par le Pasok, le grand parti d'opposition socialiste. L'incapacité des autorités à ramener le calme était soulignée mardi par la presse grecque, de droite comme de gauche, qui dénonçait un "vide de pouvoir" face à "l'anarchie". Dès lundi soir, les médias audiovisuels avaient pointé l'inefficacité des forces de l'ordre, sur la défensive face aux manifestants, forçant le ministre de l'Intérieur, Prokopis Pavlopoulos, à monter au créneau pour défendre le travail de la police, qui a selon lui "fait tout le nécessaire pour protéger la vie humaine et la propriété". Jusque dans le quartier chic de Kolonaki, les carcasses carbonisées de voitures, les alignements de vitrines brisées et les tas de poubelles fumants attestaient pourtant mardi matin du champ laissé à la rage des contestataires. La police a annoncé avoir arrêté 87 personnes, des pillards pour la plupart, à Athènes et précisé que douze policiers avaient été blessés dans les affrontements avec les jeunes. Les pompiers ont dû intervenir à 190 reprises et ont éteint des incendies dans une centaine de bâtiments et sur une vingtaine de 20 véhicules. D'autres villes ont aussi été gagnées par les affrontements et vandalismes lundi soir, comme Patras, dans le Péloponnèse, Larissa, dans le centre, la Canée, en Crète et Ioannina (nord-ouest). Le policier qui a tiré sur Alexis Grigoropoulos a été arrêté et inculpé d'"homicide volontaire", tandis que le collègue qui l'accompagnait était appréhendé pour "complicité".
Les anarchistes & marxistes ayant pour devise de faire du passé table rase, ils se sont donc aussi attaqués aux monuments historiques, ont tenté l'attaque de la bibliothèque nationale, etc. Les Talibans n'ont pas fait mieux en Afghanistan.
New student protestation marches are taking place today Tuesday in Athens and prefectures a few hours before the funeral of 15 years old Alexandros Grigoropoulos who was shot on Exarchia, Tuesday night. The funeral of the unfortunate child will take place at 3.30. Police has taken extra security measures around Palaio Faliro cemetery, Nea Smyrni. The coroner's report is expected today. At 12.30 students, teachers and parents have scheduled rally in Propylaia while another two protestation marches have been scheduled in Thessaloniki. First march will start at 12.00 in Kamara by anti authority groups, while student unions have scheduled rally half an hour later starting in Venizelos Statue. Minister of Education Evripidis Stylianidis, announced that high schools will remain closed today. Primary Teachers Federation (DOE) announced a 24 hour strike protesting against the murder of the 15 years old. Greek universities remain closed while students unions are to hold general meetings. Athens looks like a bombarded city today and the atmosphere is suffocating by tear gases police used yesterday. Metro, tram, bus routes are conducted normally. Patision Avenue is closed. At this moment, groups of anarchists are barricaded inside National Technical University of Athens. Secret monumental sites were also targeted by the angry group that was destroying everything on their way yesterday. Kostis Palamas residence,in Akadimias and Sina St. was burnt while our cultural heritage, the National Library, was also under threat. Rector of University of Athens, Christos Kittas resigned yesterday protesting against the state and police's passivity that were incapable of protecting the country yesterday. Athens Mayor Nikitas Kaklamanis, in his statements in NET TV channel asked from citizens not to move in the city center, if not necessary, and asked from the state to provide compensations to the citizens whose properties have been damaged. 66 people were arrested yesterday and will testify today to the Prosecutor for the unprecedented incidents taking place in Athens city center. The arrestees are being charged of causing damages, attacking police officers and looting shops. In total, 176 people were arrested. According to an announcement issued by police, the violent incidents started when 3 different protestations marches were divided and small groups spread in different places in the city center causing damages to buildings, cars, shops, attacking police forces using Molotov bombs, stones, marbles, woods, swords, knives and other objects they robbed after looting a gun shop in Omoneia. Source:NET, NET 105,8, ANA, MNA
Riot police quickly moved in on rioters in Thessaloniki
Days of rioting in towns across Greece has left dozens injured and hundreds of properties torched. In Thessaloniki, Dimitrios Paraskevas describes how one of the demonstrations sparked by the death of a 15-year-old boy turned violent. "It began peacefully and it was a huge demonstration. But it turned violent and a small minority went pillaging stores and breaking into public property. The demonstration tried to move to the Ministry of Macedonia and Thrace but because the police were heavily protecting that area, the rest of the city was left to the mercy of the looters.
Some people within the demonstration tried to prevent people from breaking in and pillaging shops but it was eventually too difficult.
Late on the rioters reached the Kamara area and then it became a warzone here. You could see fires everywhere, rubbish bins were burning, people were throwing molotov cocktail bombs. The police responded with tear gas. I saw police shooting canisters all over the place, but it affected more ordinary demonstrators than rioters.
Then it started to become more violent and it continued until the early hours of the morning.
People operated with a mob mentality. They chanted: 'Cops, pigs, murderers.'
Today a scheduled demonstration is to begin at 12pm local time for the memory of Alexis, the boy who was shot. He is going to be buried today and I will be there to commemorate this. I will go in peace but most of the people are worried that it will turn violent.
Most people wanted this to be something that could change the sentiment of the state and the police. They wanted something good to be done. The rioting does not help.
The whole relationship between the police and society should be re-evaluated - this is what it is all about. People don't think the state belongs to them. They see it as an enemy.
Here in Thessaloniki, we are in a worse economic situation than Athens, unemployment here is higher, we have lost our base of production.
There is anger but ordinary people don't want to express it through violence."
NOUVELLES DU 10 décembre - c'était un accident!!!
Greek capital hit by major strike http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7774634.stm Thousands of people have marched through the Greek capital, Athens, for a one-day general strike in protest at the government's economic policies.
Flights in and out of Athens airport have been cancelled, and public transport has been badly disrupted.
The industrial action was planned weeks ago but follows days of riots sparked by the police shooting of a teenager.
Court sources have told news agencies that tests show that the bullet which killed the teenager was a ricochet.
The ballistics report has not yet been published, but defence lawyer Alexis Kougias told the Reuters news agency that an investigation showed it was a ricochet.
"In the end, this was an accident," he said.
In the wake of the killing, witnesses told Greek TV that police had fired directly at the teenager, fanning popular anger.
But the officer who fired the shot had said it was a ricochet from a warning shot, as the dead teenager had been among a group of youths who reportedly threw stones at a police car.
Union demands
Flight have been cancelled, banks and schools closed, and some hospital services are said to be restricted.
About 4,000-5,000 workers have been gathering in Constitution Square central Athens for a rally outside the Greek parliament, waving banners and shouting anti-government slogans.
Small groups of youths have been throwing rocks and petrol bombs at police near the square, and riot police have been responding with tear gas grenades.
The BBC's Athens correspondent Malcolm Brabant says this level of violence is easily tolerated by Greece's riot police.
Prime Minister Costas Karamanlis had appealed to the unions to cancel a rally planned for central Athens.
The two main umbrella unions - the Greek General Confederation of Workers (GSEE) and the Civil Servants Supreme Administrative Council (ADEDY) - are demanding increased social spending in light of the global financial crisis, as well as higher wages and pensions.
They represent about 2.5 million workers - roughly half of the total Greek work force, according to Associated Press news agency.
"Participation in the strike is total, the country has come to a standstill," Stathis Anestis, spokesman for the GSEE, told the Reuters news agency.
The day is a litmus test of public mood, says the BBC's Malcolm Brabant in Athens, amid fears of further violence.
If the strike passes peacefully, the government of Mr Karamanlis will survive for another day, our correspondent says.
The strike comes after three consecutive days and nights of riots in which shops and offices were set alight and riot police battled groups of stone- and bottle-throwing youths.
However, Greek television reported that a group of about 100 Roma attacked a police station in the impoverished suburb of Zefyri, where they set a lorry on fire and tried unsuccessfully to push it into a station. In the port city of Patras, 215km (134 miles) west of Athens, a crowd of people, including shop-owners, are said to have turned on rioters and forced them to stop a wave of destruction, our correspondent says.
Entrepreneurs have been sleeping in their shops to defend them against rioters and looters.
The Athens Traders Association estimates that four days of rioting has caused 1bn euros ($1.3bn, £874m) worth of damage.
Several 24-hour strikes against the government's economic reform policies have brought the country to a standstill this year.
'Warning shot'
The riots were triggered by the death of 15-year-old Alexandros Grigoropoulos, shot by police in Athens on Saturday, and spread to a number of towns and cities across Greece.
Clashes erupted near the suburban Athens cemetery where his funeral was held on Tuesday.
Two police officers have been charged in connection with the teenager's death, and are due to appear before a public prosecutor on Wednesday.
The protesters' frustration has been fuelled by corruption scandals and poor economic prospects for many, our correspondent says.
Opposition Socialist leader George Papandreou has called for early elections, saying the government had lost the confidence of the people and could not handle the crisis.
Mr Karamanlis, whose conservative party has a parliamentary majority of just one seat, has called for unity and said rioters would not be shown any leniency.
The unrest was sparked by the fatal shooting of a teenager by police
un envoi triste et désabusé de NK, lectrice d'Athènes