mercredi 3 juin 2009

Obama a fait allégeance publique à l'islam!

Seuls les citoyens américains et les mollusques des îles-sous-le-vent ignorent que m. Barrak Obama, l'actuel président des États Unis d'Amérique, n'est pas né aux USA mais en Indonésie. Et qu'avant sa glorieuse ascension politique - où il est fort seul, voyez le nombre de noirs et de métis élus députés ou sénateurs.. - il était de confession musulmane. Son pseudo-christianisme de façade s'est bel et bien effacé aussitôt qu'il s'est retrouvé devant un des plus hauts dignitaires de l'islam. Donc un de ses supérieurs religieux...
Ca promet pour la suite - la Serbie (avec Albanie & Bosnie) et l'Europe en général (avec Turquie et Afrique du Nord) vont en baver..




La révérence à l’islam

Éditorial du n°30 - Semaine 14


Les médias ont beaucoup daubé sur le geste déplacé de Michelle Obama mettant sa main sur le dos de la reine d’Angle-terre. Mais beaucoup de Britanniques ont été autrement choqués de voir que Barack Obama, après avoir salué la reine d’une légère inclinaison de la tête, s’est littéralement prosterné devant le roi d’Arabie saoudite pour lui baiser la main.

Au sommet de l’OTAN, Barack Hussein Obama a résolu le problème de l’élection du secrétaire général, en se portant « garant » des conditions imposées par les Turcs pour leur acceptation d’Anders Fogh Rasmussen. A commencer par celle-ci : que le Premier ministre danois s’excuse devant les musulmans pour avoir refusé de condamner les caricatures de Mahomet parues dans son pays. Deux jours plus tard, c’est ce qu’il faisait à Istanbul.


« Les musulmans » sont nos amis


Au sommet de l’UE à Prague, Barack Hussein Obama déclare : « Les Etats-Unis et l'Europe doivent aborder les musulmans comme nos amis, nos voisins et partenaires dans la lutte contre l'injustice, l'intolérance et la violence. » Sans qu’une telle énormité suscite la moindre réaction. Alors qu’il parle bien des musulmans dans leur ensemble, et que tout le monde peut voir ce qu’il en est de la justice et de la tolérance dans les pays musulmans. Il s’agissait du prologue au couplet sur l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, et c’est seulement ce passage-là qui a été commenté (alors que ce n’était qu’une réaffirmation de la position américaine), sans que personne ne fasse observer que la Turquie officiellement laïque n’est pas censée représenter « les musulmans ».

Devant le Parlement turc, il affirme : « Les Etats-Unis ne sont pas en guerre contre l’islam et ne le seront jamais » (même si l’islam est en guerre contre les Etats-Unis, donc), et, mieux encore : « Nous exprimerons notre appréciation profonde de la foi islamique qui a tant fait au long des siècles pour améliorer le monde, y compris mon propre pays. » Sic. Et il précise : « Beaucoup d’Américains ont des musulmans dans leur famille. Je le sais car je suis de ceux-là. » Ainsi Obama va-t-il encore plus loin que Sarkozy dans son discours de Riyad. Mais il est vrai que Sarkozy n’a pas de musulmans dans sa famille…

On constate, là encore, que Barack Hussein Obama évoque carrément « la foi islamique », devant le Parlement turc officiellement laïque.


La soumission


Mardi, Barack Hussein Obama était à Istanbul. Dans la première version du programme officiel de son voyage, il y avait une visite au patriarche orthodoxe œcuménique Bartholomée, en sa résidence-ghetto du Phanar.

Mais, le 29 mars, cette visite a été supprimée du programme. Comme George Bush en 2004, Barack Hussein Obama n’a pu rencontrer le patriarche œcuménique qu’à condition que celui-ci se rende à l’hôtel du président américain, comme d’autres dignitaires religieux. La rencontre a duré 15 minutes…

Les musulmans ne sont pas des amis, ce sont des supérieurs, auxquels on se soumet. Telle était bien la signification du geste du président américain saluant le roi d’Arabie saoudite : la soumission du représentant du pays qui se dit le phare de la liberté et de la démocratie, à l’islam le plus tyrannique.

Il ne s’agit plus seulement de manœuvres géopolitiques. On se prosterne devant la « foi islamique ». Quand le président américain, autrefois le chef du monde libre, en est là, et qu’il n’y a pas un seul chef d’Etat pour réagir, on voit qu’il n’y a plus, dans les hautes sphères, aucune digue susceptible de contenir l’islamisation de la planète.


un excellent édito de l'hebdomadaire "Daoudal Hebdo"
http://daoudal-hebdo.info/Daoudal_Hebdo/Bienvenue.html

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