mercredi 25 juin 2008

dhimmitude: l'islam omnipotent jusque dans nos hopitaux


Il eut pourtant été facile au personnel de cet hôpital de dire "non" à cet individu, et de l'envoyer se faire soigner en Arabie Séoudite par exemple - en tapis volant, il y serait vite arrivé.
Seulement voilà, dhimmitude oblige, on accepte que les esclaves féminines de ces "gens-là" débarquent déguisées en "zorros" malgré que ce ne soit pas carnaval, de fil en aiguille on va toujours plus loin.
Bref, on se courbe devant eux.
Et puis on s'étonne qu'ils en profitent pour nous en....



CLINIQUE DE BOURGOIN-JALLIEU
Le crucifix de la discorde



http://ledauphine.com/index.jspz?article=30990



Vive effervescence lundi en fin d'après-midi dans la chambre 322 de la clinique Saint-Vincent-de-Paul à Bourgoin-Jallieu. Il est 17h 30 quand de violents éclats de voix retentissent dans la pièce où une fillette est hospitalisée. Avant que le personnel médical n'effectue des soins sur la fillette qui a subi le matin même dans cet établissement une opération chirurgicale programmée, le père, de confession musulmane, exige le retrait du crucifix accroché au mur.

« Une demande surprenante de la part d'une famille qui a choisi librement notre établissement »

« Pendant près d'un quart d'heure, le père, en présence de son épouse, s'est emporté verbalement, exigeant que le crucifix soit décroché », raconte un témoin des éclats de voix. Alors que l'infirmière use de toute sa diplomatie afin d'apaiser les esprits, le crucifix est finalement enlevé du mur. Dans l'intérêt des soins dispensés à l'enfant.
Dès hier matin, la direction de l'établissement a été informée de l'incident. « Quand les gens choisissent d'être soignés dans notre établissement, ils le font en toute connaissance de cause. Ils savent qu'ils sont dans une maternité catholique. Ceci n'est nullement caché : c'est d'ailleurs parfaitement inscrit à l'entrée de l'établissement, tout comme dans le livret d'accueil. Les petites soeurs des maternités catholiques évoluent en vêtement religieux dans les services, la cloche visible depuis les chambres sonne trois coups à chaque naissance. Cette demande est surprenante de la part d'une famille qui a choisi librement notre établissement », affirme Marie-Thérèse Besson, directrice de la clinique, tout en détaillant l'objet de la discorde. « Chaque chambre est pourvue d'un crucifix. De petite taille, celui-ci n'est nullement ostentatoire, très sobre ».

Un fait qui sera évoqué devant le conseil d'éthique

Elle estime d'autre part que « l'aide-soignante a su ce qu'il fallait faire » afin que la situation ne s'envenime pas.

Cet incident devrait être évoqué au prochain comité d'éthique dont s'est dotée l'Alliance des maternités catholiques dont est membre la clinique Saint-Vincent-de-Paul de Bourgoin-Jallieu. « Nous sommes ponctuellement confrontés à ce type de situation dans chacune de nos institutions », expose soeur Marie-Mathieu, présidente du conseil d'administration de l'établissement. Se réunissant plusieurs fois par an, ce comité rassemble des religieuses, des personnalités civiles, des philosophes, des juristes mais également des représentants du corps médical de chaque établissement.
Le dernier événement porté à sa connaissance remonte à plusieurs mois. Dans un établissement d'Aix-en-Provence, un père a brisé un crucifix en le jetant au sol puis l'a jeté à la poubelle. Un comportement qui n'avait pas été toléré.
« Pourquoi avoir choisi notre établissement, alors que la famille était visiblement allergique aux signes religieux ? », s'interroge cependant le personnel de l'établissement berjallien, tout en dénonçant une dérive d'une société de moins en moins respectueuse des convictions de chacun. « Nous accueillons très régulièrement des femmes musulmanes, voilées, et tout se passe normalement », assure la directrice.
Regrettant cet incident, soeur Marie-Mathieu estime qu'il va à l'encontre de l'un des fondements de l'établissement : le respect mutuel. « La clinique accueille et respecte tout un chacun avec ses convictions religieuses. Notre souhait est le désir de communion universelle ».


Vincent WALES
Paru dans l'édition 38C du 25/06/2008 (41821)



"Doulce France..."



De: "john" john @ yahoo.fr
Forum: can.francais, fr.soc.politique, fr.soc.religion, qc.politique, soc.culture.belgium, soc.culture.quebec
Sujet: Un français chrétien fait scandale dans une clinique islamique en Turquie
Date: Jeudi 26 Juin 2008 10:23:35 +0200

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Un chrétien français travaillant en Turquie comme ingénieur vient faire soigner
sa fille dans la clinique islamique Al-Barrat-în, à Avanos, en Cappadoce. Le
chrétien exige, de façon véhémente, que soit retirée une gravure représentant
une scène de la vie de Mahomet, fixée au mur de la chambre de sa fille malade.

Pendant un quart d'heure, le père chrétien, en présence de madame son épouse,
s'emporte verbalement - exigeant que la gravure soit décrochée. Il obtient gain de
cause. Le directeur de la clinique, Monsieur Mehmet Ben Menfou, déclare que
cette demande est surprenante de la part d'une famille qui choisit librement
son établissement islamique.
Quand les gens choisissent d'être soignés dans son établissement ils savent qu'ils
sont dans une maternité islamique. C'est l'opinion de Monsieur Mehmet Ben Menfou.
Cependant le personnel de cette clinique islamique cède à l'exigence du père de
famille chrétien. L'affaire monte jusqu'au gouvernement turc, qui, invoquant la liberté
religieuse saisit la Cour européenne des Droits de l'Homme. La Loucra, le Mrop, la
Halte, l'Association pour la Tolérance dans les Cliniques Islamiques (ATCI) et Amnésie
International, dénoncent le comportement du chrétien français. Comportement qualifié
de raciste, islamophobe et portant atteinte à la coexistence pacifique (et tolérante)
avec les musulmans.

La présidence de la République française diffuse un communiqué dans lequel elle
présente ses excuses au peuple turc pour un comportement scandaleux, qui ne
reflète en rien l'opinion de la majorité des Français. Une cellule de crise est mise
en place afin que désormais tout non-musulman se rendant ou résidant en terre
dite d'islam soit informé de l'attitude à adopter afin d'éviter d'autres incidents de
même nature. Le gouvernement turc a accepté les excuses de la présidence
française. L'ambassadeur de France à Ankara a offert au gouvernement turc une
fresque de Mahomet retrouvée dans les sous-sols du Louvre.

http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-14443-145-7-croix-meurs-sus-au-crucifix-clinique-catholique-francaise.html

jeudi 19 juin 2008

Météo de Télé-Bruxelles: il fait chaud.. sous la burka


La météo de Télé Bruxelles présentée par une femme en burka: regardez la vidéo



http://www.rtlinfo.be/rtl/news/article/141108/


mer 18 juin

Dans la séquence météo de Télé Bruxelles diffusée mardi, une certaine Fadila donne les prévisions de mercredi en burka, "ne laissant apparaître qu'une paire d'yeux" peut-on lire dans un communiqué publié par des administrateurs MR "scandalisés" par la diffusion de cette séquence qui pouvait être visionnée sur le site internet de Télé Bruxelles jusqu'à ce mercredi matin. Ces derniers interpelleront vendredi le président du conseil d'administration de Télé Bruxelles ainsi que son directeur général à la suite de cette diffusion mardi. Une enquête interne est en cours au sein de la télévision locale.

Les libéraux bruxellois (MRLB) siégeant au conseil d'administration de la chaîne se disent donc "scandalisés"

Dans leur communiqué, ils annoncent leur intention d'intervenir "en conséquence". Depuis novembre dernier, Télé Bruxelles donne l'occasion à ses téléspectateurs de présenter eux-mêmes la météo.

Dans la séquence diffusée mardi, une certaine Fadila donne les prévisions de mercredi en burka, "ne laissant apparaître qu'une paire d'yeux", selon le communiqué. "Quel contrôle du contenu est assuré quant à la diffusion de ces vidéos par Télé Bruxelles? ", se demande dès lors Nathalie Gilson, députée et administratrice à Télé Bruxelles, qui rappelle qu'à ce jour, la burka n'est pas autorisée sur le territoire bruxellois. Les règlements de police interdisent en effet de se promener masqué en ville, en dehors des jours de mardi gras.

Contacté par l'agence Belga, le directeur général de Télé Bruxelles, Marc de Haan, explique qu'il ne s'agit pas d'une burka mais bien d'"une personne qui a un voile sur la tête et le visage". Pour M. de Haan, il est évident que la séquence incriminée, qualifiée de "caricature", n'aurait pas dû passer à l'antenne, car elle est de nature à choquer les gens, ce qui n'est pas l'objectif de Télé Bruxelles.

Une enquête interne est en cours, a-t-il indiqué, en précisant que le programme est réalisé par un producteur extérieur "qui a fait preuve de légèreté". De plus, le contrôle interne avant la diffusion n'a pas fonctionné correctement, a-t-il ajouté. Françoise Bertieaux, présidente des libéraux bruxellois, demande pour sa part que toute la lumière soit faite sur ce "malheureux incident". "A l'heure où en Turquie le gouvernement interdit le port du voile dans ses universités, je ne sais pas très bien quel message on veut faire passer avec cette vidéo. Je ne peux qu'espérer qu'il ne s'agit là que d'un malencontreux malentendu", a-t-elle conclu.




mardi 17 juin 2008

America alone - livre-choc pour réveil ou épitaphe pour l'Europe des dhimmis?


Le livre de Mark Steyn "America Alone" est désormais disponible en
français. Il sera bientôt interdit au Canada comme dit sa nouvelle couverture
aux États-Unis à la suite des "procès" intentés contre son auteur et le
plus grand magazine du pays, Macleans, qui en a publié quelques extraits.


Sur le procès contre Macleans et Mark Steyn :

http://pointdebasculecanada.ca/spip.php?article447&var_recherche=Mark...

America Alone : La fin du monde tel que nous le connaissons (Broché)
de Mark Steyn (Auteur)
http://www.amazon.fr/America-Alone-monde-nous-connaissons/dp/23501222...

Sur Mark Steyn (vidéo sous-titrée en français) :

http://pointdebasculecanada.ca/spip.php?article440

Mark Steyn

Le site du livre et un chapitre gratuit en ligne:i

http://www.americaalonebook.com/offers/offer.php?id=AMAL001


Avis d'une lectrice :

Mark Steyn, chroniqueur politique et critique culturel, a écrit un livre
remarquable, America Alone : The End of the World as We Know It
(L’Amérique seule: la fin du monde tel que nous le connaissons, Éditions
Regnery). Cet ouvrage allie plusieurs vertus rarement réunies – humour,
compte rendu exact et profondeur de la réflexion – pour traiter du thème
probablement le plus lourd de conséquence de notre époque: la menace
islamique pesant sur l’Occident. Steyn propose une thèse dévastatrice
mais la présente en éléments disparates. Je vais donc en faire la
synthèse ici.

Il commence par le legs de deux totalitarismes. Traumatisés par
l’attrait électoral du fascisme, les États européens de l’après-Deuxième
Guerre mondiale furent édifiés du sommet vers la base, «afin d’isoler
presque entièrement la classe politique des pressions populistes». C’est
ainsi que l’establishment en est «venu à considérer les électeurs comme
des enfants».

Ensuite, pendant la guerre froide, la menace soviétique incita les
Américains, impatientés par le manque de réaction de l’Europe (et du
Canada) à prendre en mains leur défense. Cette politique bienveillante
et prévoyante conduisit à la victoire en 1991, mais elle eut aussi pour
corollaire involontaire et moins salutaire de libérer des fonds
européens qui ont été investis dans l’édification de l’État providence.
Or celui-ci a eu plusieurs effets pernicieux.

L’État paternaliste a infantilisé les Européens, les portant à se
soucier de pseudo-problèmes tels que le réchauffement climatique tout en
féminisant les hommes.
Il les a également châtrés en annexant «la plupart des fonctions de
l’âge adulte», à commencer par l’instinct de reproduction. Depuis 1980
environ, les taux de naissance ont chuté, érodant les chances des
travailleurs actuels de toucher un jour leur retraite.
Structuré sans vision à long terme, il équivaut à une escroquerie
pyramidale intergénérationnelle par laquelle les travailleurs doivent
compter sur leurs enfants pour payer leur retraite.
L’effondrement démographique indiquait que les peuples indigènes de pays
tels que la Russie, l’Italie et l’Espagne sont à l’entrée d’une spirale
mortelle de dépopulation.
Tout cela a conduit à un effritement de la confiance, lequel a produit à
son tour un «épuisement civilisationnel» privant les Européens des
aptitudes nécessaires à défendre leurs valeurs.
Pour garder la machine économique en mouvement, il fallait accepter des
travailleurs étrangers. Mais au lieu d’élaborer un plan à long terme
pour préparer leurs pays aux millions d’immigrants nécessaires, les
élites européennes comptèrent sur le hasard et accueillirent
pratiquement tous ceux qui se présentèrent. Par l’effet de la proximité
géographique, de l’emballement démographique et d’un contexte favorable
aux crises, «l’Islam est maintenant le principal fournisseur de nouveaux
Européens».

En arrivant ainsi dans une période de faiblesse démographique, politique
et culturelle, les Musulmans transforment profondément l’Europe.
«L’Islam a la jeunesse et la volonté, l’Europe a l’âge et le bien-être.»
En d’autres termes: «L’Islam pré-moderne prend le dessus sur le
Christianisme postmoderne.» Steyn prédit carrément que la majeure partie
du monde occidental «ne survivra pas au XXIe siècle et une grande
partie, dont la plupart sinon la totalité des pays européens,
disparaîtra pendant notre génération». Et il ajoute, avec un accent
dramatique encore plus prononcé, que nous assistons à «la fin du monde
tel que nous le connaissons».

America Alone aborde longuement ce que Steyn appelle «les forces
supérieures en jeu dans le monde développé qui ont affaibli l’Europe au
point de l’empêcher de résister à son implacable transformation en
Eurabia». La population héritière de l’Europe est déjà dans la place et
«la seule question est de savoir à quel point le transfert de propriété
sera sanglant». Il distingue dans les attentats à l’explosif de Madrid
et de Londres de même que dans le meurtre de Theo van Gogh à Amsterdam
les premières salves de la guerre civile d’Europe et déclare que
«l’Europe est la colonie à présent».

Le titre America Alone (l’Amérique seule) se rapporte à la prévision de
Steyn selon laquelle les États-Unis – grâce à leur «profil démographique
relativement sain» – seront l’unique survivant de ce chaudron. «L’Europe
se meurt et l’Amérique vit.» Ainsi, «le continent est prêt à être
conquis, pas l’Amérique». Le public cible de Steyn est essentiellement
américain: prenez garde, dit-il, ou il vous arrivera la même chose.
Arrivé à l’essence de sa démonstration, il offre deux conseils:

Premièrement, éviter les «systèmes d’assistance publique
surdimensionnés», les déclarer rien moins qu’une menace pour la sécurité
nationale, amincir l’État et insister sur les vertus de l’indépendance
autosuffisante et de l’innovation individuelle. Deuxièmement, éviter
l’«excès de stabilité impériale», ne pas «se recroqueviller dans
l’Amérique forteresse», mais détruire l’idéologie de l’Islam radical,
favoriser la réforme de l’Islam et étendre la civilisation occidentale
en de nouveaux endroits. Les Américains ne trouveront assez de compagnie
pour persévérer que s’ils «peuvent réunir la volonté de guider au moins
une partie du monde en émergence». Sinon, nous devons nous attendre à un
«nouveau Moyen Âge (…), [à] une planète dont une grande partie sera
revenue à l’état primitif».


Est-ce vraiment la solution pour revenir aux valeurs familiales traditionnelles qui ont permis au continent européen de vivre - et mieux que de survivre, de se développer, des millénaires durant?

Parce que ce "choix" a toujours mené à ceci :


vendredi 13 juin 2008

Démocratie à l'Europénne: dites "non", on s'en fiche!



L'Irlande rejette le traité européen de Lisbonne

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/311462/2008/06/13/L-Irlande-rejette-le-traite-europeen-de-Lisbonne.dhtml

Le ministre irlandais de la Justice Dermot Ahern a affirmé vendredi qu'il "semble que ce soit le non" qui l'emporte au référendum sur le traité européen de Lisbonne, lors d'une interview à la radio-télévision publique RTE. La victoire du "non" plongerait l'Europe dans une crise grave si elle était confirmée par les résultats définitifs.

M. Ahern a basé ses conclusions sur des décomptes fournis au niveau national par des observateurs et sur les premiers résultats. Ils montrent une victoire du "non" dans une grande majorité des 43 circonscriptions du pays. "D'après ce que j'entends, ça se ne présente pas bien pour le camp du oui", a déclaré de son côté le ministre des affaires européennes Dick Roche.

Dans sa circonscription de Wicklow, au sud de Dublin, "on est au coude à coude", a ajouté M. Roche. "Et d'après ce qu'on me dit Wicklow est l'une des meilleures circonscriptions" pour une victoire du "oui", a-t-il souligné.

Selon M. Roche, les zones ouvrières urbaines et les circonscriptions rurales ont plutôt voté "non" tandis que le "oui" fait mieux dans les zones urbaines de la classe moyenne, selon les toutes premières indications. "Le décompte est en cours pour le référendum sur Lisbonne, et selon les premières indications le traité connaît peut-être quelques difficultés", avait pour sa part indiqué la RTE. "Le camp du oui n'est pas très content des premières indications", a ajouté la radio-télévision, précisant toutefois que les premiers résultats officiels n'étaient pas encore connus.

Dans certains bureaux de vote à Dublin, les "non" semblent deux fois plus nombreux que les "oui", selon ce média. Selon l'Irish Times, les premières tendances dans plusieurs circonscriptions de Dublin montrent que le "non" atteint 60 % des voix, contre 40 % au "oui", voire 70 % de "non" à Dublin sud-est.

Les suffrages ont commencé à être comptés à 10 heures dans les 43 circonscriptions de l'île pour des résultats définitifs prévus en fin d'après-midi. Les derniers sondages donnant le "oui" et le "non" au coude à coude, voire le "non" en tête.

Aucun chiffre officiel de participation n'a été diffusé. Elle serait de 50 % selon l'Irish Times, mais la radio-télévision irlandaise RTE l'évalue à 40 % environ, soit seulement quelques points de plus que le plus-bas atteint en 2001 (34,8 %). Cette faible participation avait été citée comme l'une des raisons principales de la possible défaite du "oui".

"Si la participation est de 50-55 %, le oui a de bonnes chances. S'il se situe à 35 % ou moins, il y a une forte possibilité d'un non", a déclaré Ben Tonra, politologue à l'University College à Dublin. Les autorités ont averti que si la différence entre les "oui" et "non" est inférieure à 10.000 voix, un recomptage national serait organisé. Les résultats ne seraient dans ce cas pas attendus avant 22 heures. (afp/7sur7)
13/06/08 13h54













Ireland rejects European Union reform treaty
http://news.yahoo.com/s/ap/20080613/ap_on_re_eu/ireland_eu_referendum


By SHAWN POGATCHNIK, Associated Press Writer 8 minutes ago

DUBLIN, Ireland - Ireland's voters have rejected the European Union reform treaty, a blueprint for modernizing the 27-nation bloc that cannot become law without Irish approval, electoral officials said Friday.

In a major blow to the EU, 53.4 percent of Irish voters said no to the treaty. Irish Prime Minister Brian Cowen now will join other EU leaders at a summit next week to try to negotiate a new way forward.

Anti-treaty groups from the far left and right mobilized "no" voters by claiming that the treaty would empower EU chiefs in Brussels, Belgium, to force Ireland to change core policies — including its low business tax rates, its military neutrality and its ban on abortion.

"This is a very clear and loud voice that has been sent yet again by citizens of Europe rejecting the anti-democratic nature of Brussels governance," said Declan Ganley, leader of Libertas, the most prominent anti-treaty campaign group in Ireland.

The euro common currency fell to a one-month low on the news.

An EU constitution failed after French and Dutch voters rejected it in 2005. Ireland was the only member that subjected its would-be successor, the Lisbon Treaty, to a national vote. The Irish constitution requires all EU treaties to be ratified by referendum.

Ireland's minister for European affairs, Dick Roche, said the country was constitutionally barred from passing the treaty now. He predicted it would be difficult, if not impossible, for EU leaders to find a solution that would permit a second Irish referendum.

"As far as I'm concerned, this treaty is a dead letter," Roche said, adding that Ireland's voters have "made life very difficult for us going out to Brussels. We are in completely uncharted territory here, a very strange position."

In the EU's power base of Brussels and other European capitals, leaders vowed to complete ratification of the Lisbon Treaty through the governments of the other 26 members — even though, legally, the treaty cannot come into force because of the Irish rejection.

At the major ballot-counting center in Dublin, Finance Minister Brian Lenihan struggled to speak to reporters as anti-treaty activists jubilantly drowned him out with songs and chants of "No!" He eventually gave up and walked out, as one activist waved a sign reading "No to foreign rule" over his head.

Rural and working-class areas were almost universally anti-treaty. Better-off parts of Dublin registered stronger support for the EU. In suburban south Dublin, a largely wealthy and highly educated district, the "yes" camp triumphed with 63 percent of the vote. But a neighboring, scruffier district voted 65 percent "no."

The Lisbon Treaty and the failed constitution before it sought to reshape EU powers and institutions in line with the bloc's rapid growth in size and population since 2004.

Both documents proposed to strengthen the roles of the EU's president and foreign policy chief, reduce the areas where individual nations could veto policy changes and increase the powers of the European Parliament to scrutinize EU laws.

Ireland views itself as a pro-EU state that has broadly benefited from 35 years of membership. Yet even here, a majority of voters appeared determined to register their opposition to the growth of a continental government that would erode Ireland's sense of independence.

Anti-treaty pressure groups warned that the EU would use treaty powers to reduce Ireland's ability to control its own tax rates and maintain a ban on abortion. Such claims were vociferously rejected by the government and major opposition parties, all of whom campaigned for the treaty's ratification.

"People felt a convincing case for the treaty had not been made, and they felt hectored and bullied into supporting it while the wool was being pulled over their eyes," said Richard Boyd Barrett, leader of a hard-left pressure group called People Before Profit.

GOD BLESS IRELAND!!!


Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080613/tpl-irlande-ue-referendum-france-prev-ee974b3.html
Par Indalecio ALVAREZ AFP - il y a 1 heure 13 minutes



PARIS (AFP) - La crise provoquée par le rejet du traité européen de Lisbonne en Irlande frappe de plein fouet la présidence française de l'Union européenne, remisant au second plan les ambitieux projets que le président Nicolas Sarkozy entendait lancer à partir du 1er juillet.

Pour Hugo Brady, du "Centre for european reform" basé à Londres, la présidence française est d'ores et déjà "plongée dans la confusion la plus totale". "Le sommet européen du 19 juin, encore sous présidence slovène, va s'ouvrir dans une atmosphère de crise", prévient-il.

Avant le non irlandais, M. Sarkozy avait promis de consacrer sa présidence à plusieurs chantiers phares: défense, énergie et réchauffement climatique, Union pour la Méditerranée ou un pacte pour l'immigration.

"Les quatre priorités définies par Nicolas Sarkozy pour la présidence française portent sur le fond et peuvent être atteintes dans le cadre du traité de Nice, malgré la victoire du non irlandais", assurait-on à l'Elysée.

"Ces vrais objectifs concrets doivent montrer que l'UE est capable de répondre aux préoccupations concrètes des Européens, ce qui est précisément tout le message du non irlandais", faisait-on valoir.

Mais M. Sarkozy devait aussi préparer les premières réformes institutionnelles du traité de Lisbonne, comme les nominations du "président de l'UE" et du nouveau Haut représentant des Affaires étrangères, qui ne sont plus à l'ordre du jour.

Ironie de l'Histoire, c'est à Paris qu'il revient d'éviter une paralysie européenne identique à celle qui avait suivi le non français en 2005. Et, comme à l'époque, aucun "plan B" n'est prêt dans les tiroirs européens.

"Les Français vont tenter de sortir de cette pagaille, mais ils n'ont pas beaucoup de temps: si on tient compte des vacances d'août, c'est une présidence de cinq mois", relève Hugo Brady.

Il rappelle qu'après les non français et néerlandais, "aucune réponse immédiate n'a été trouvée: il a été décidé une période de réflexion et rien n'a été fait pendant un bon moment".

Pour Jean-Dominique Giuliani, de la Fondation Robert Schuman, ce précédent va au contraire pousser la présidence française "à accélérer".

"Nicolas Sarkozy va prendre le taureau par les cornes et précipiter les initiatives. Il dira: avance qui veut, mais on ne nous empêchera pas d'avancer", prévoit-il, ajoutant: "la chancelière allemande Angela Merkel a déjà exclu de renégocier".

"On dira aux Irlandais : +quelles sont les garanties que vous voulez+, comme on l'a fait à propos du traité de Nice", qu'ils avaient rejeté dans un premier temps, explique M. Giuliani. Selon lui, "une réaction très vive mettra les Irlandais en situation de dire ce qu'ils veulent".

Mais pour Thomas Klau, du "European Council on Foreign Relations", un tel scénario n'est envisageable que si la crise oppose l'Irlande à ses 26 autres partenaires. Or "si la Grande-Bretagne et la République tchèque cessent à leur tour leur processus de ratification, tout le débat institutionnel sera rouvert sans solution en vue".

Face à Londres et à Prague, la présidence française et ses partenaires pourront faire preuve de persuasion mais n'ont "pas de moyens contraignants", souligne-t-il.

La situation devrait amener la présidence française à tirer les leçons du non irlandais, estime Sylvie Goulard, présidente du Mouvement européen France, selon laquelle toute consultation future de ce type devrait se faire "avec une sanction à la clé en cas de non".

Pour elle, "la présidence française a intérêt à garder son agenda" même s'"il est évident que ce ne sera pas +business as usual+".



Le président tchèque Klaus: le processus de ratification est "fini"

http://www.romandie.com/infos/news2/080613172853.q9wnp46q.asp

PRAGUE - Le président tchèque Vaclav Klaus a estimé vendredi à Prague que le Traité de Lisbonne était "fini" qu'il n'était "plus possible de poursuivre sa ratification" après le "non" irlandais.

"Le projet de traité de Lisbonne a pris fin aujourd'hui avec la décision des électeurs irlandais et il n'est plus possible de poursuivre sa ratification", a-t-il dit dans un communiqué.

Le "non" des Irlandais est "une victoire de la liberté et de la raison sur les projets élitistes artificiels et la bureaucratie européenne", a-t-il ajouté.

"Dans un seul pays (sur les 27 de l'UE), les politiciens ont permis aux citoyens d'exprimer leur opinion. Le résultat est une information claire pour tous", a estimé celui qui a toujours farouchement critiqué toute perte de pouvoir des pays-membres au profit de Bruxelles.

L'année dernière, quand l'Allemagne avait relancé le processus constitutionnel en panne après les référendums négatifs en France et aux Pays-Bas, M. Klaus avait été l'un des plus difficiles à convaincre, avec son homologue polonais Lech Kaczynski.

La position des Tchèques est d'autant plus importante que Prague doit prendre la présidence tournante de l'UE au premier semestre 2009.

Plus nuancé que M. Klaus, le Premier ministre libéral tchèque, Mirek Topolanek qui dispose des pouvoirs exécutifs, a souligné vendredi que le "non" irlandais était une "complication politique", tout en estimant que l'Union européenne allait continuer à fonctionner de manière "stable".

"En aucun cas, nous ne considérons le +non+ irlandais comme moins grave que les +non+ précédents de la France et des Pays-Bas", a-t-il dit dans un communiqué.

Selon lui, la République tchèque continue à se préparer à sa présidence tournante de l'UE au premier semestre 2009. "Dès le début, nous avons travaillé avec les deux variantes possibles du résultat du processus de ratification", a-t-il conclu.

"Il s'agit bien sûr d'une complication pour l'UE. Mais l'Union a déjà affronté d'autres complications dans le passé et saura comment s'y prendre", a de son côté déclaré à l'AFP le vice-Premier ministre tchèque chargé des Affaires européennes, Alexandr Vondra.

Comme le président, le chef du Sénat (chambre haute du Parlement tchèque) Premysl Sobotka du parti libéral ODS de M. Topolanek a estimé que la ratification du Traité était finie "de facto".

Prague a opté pour la voie parlementaire pour ratifier le Traité. Fin avril, le Sénat tchèque a saisi la Cour constitutionnelle pour vérifier la conformité du texte avec la loi fondamentale sur plusieurs points, notamment le transfert à Bruxelles de certaines compétences nationales et le mécanisme de décision au sein du Conseil.




Bon, et maintenant que les Irlandais ont dit "non"?
Qu'importe, les Français et les Néérlandais avaient eux aussi dit "non" il y a 3 ans, et on n'en a pas tenu compte. La dernière fois, les eurocrates ont traffiqué le traité constitutionnel pour qu'il ait l'air différent du premier. Cette fois, ils ont clairement indiqué leurs intentions : rien à foutre de l'opinion des peuples, la démocratie doit primer, donc on passera outre du "non", au nom de la démocratie.
Qui, si vous ne l'aviez pas encore compris, ne concerne que les eurocrates et les banquiers.


Paris et Berlin plaident pour la poursuite du processus de ratification après le "non" irlandais
http://fr.news.yahoo.com/ap/20080613/twl-irlande-ue-referendum-france-0ef7422.html



PARIS - Nicolas Sarkozy et Angela Merkel veulent passer outre le "non" irlandais. Dans un communiqué commun publié vendredi après l'annonce des résultats du référendum, le président français et la chancelière allemande ont appelé à la poursuite de la procédure de ratification du traité de Lisbonne.

Le rejet irlandais ne pouvait pas plus mal tomber pour Nicolas Sarkozy, à 15 jours du début le 1er juillet de la présidence française de l'Union européenne. Ses priorités pour sa présidence -immigration, énergie-climat, défense-, vont être reléguées au second plan, derrière l'urgence de trouver une solution à la crise institutionnelle.

Les dirigeants français restaient vagues vendredi sur le "plan C" à dégainer face à ce nouveau coup d'arrêt dans la construction de l'Europe politique. Mais l'appel à la poursuite de la ratification traduit la volonté de Paris, comme de toutes les capitales, de continuer malgré tout sur la voie du traité "simplifié".

Dans leur communiqué commun, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, tout en regrettant le vote des 2,8 millions d'électeurs irlandais, font valoir que "le traité de Lisbonne a été signé par les chefs d'Etat ou de Gouvernement des 27 Etats membres" et que "la procédure de ratification est déjà achevée dans 18 pays". "Nous espérons donc que les autres Etats membres poursuivront le processus de ratification", ajoute le communiqué.

Les dirigeants français et allemand se disent "convaincus que les réformes contenues dans le traité de Lisbonne sont nécessaires pour rendre l'Europe plus démocratique et plus efficace et qu'elles lui permettront de répondre aux défis auxquels sont confrontés ses citoyens".

"Nous sommes déçus mais (...) l'Europe n'est ni en panne ni en crise, c'est un incident", a déclaré le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes Jean-Pierre Jouyet. "Nous sommes tristes surtout pour nos amis irlandais mais je crois qu'on va aller de l'avant." Vendredi matin avant l'annonce du résultat, il a évoqué "un arrangement juridique" à trouver avec l'Irlande passant par "des modes de coopération spécifique".

L'option qui semble privilégiée par Paris consiste donc à renégocier avec Dublin sur des adaptations au traité, avant de leur demander de revoter. Ce scénario avait déjà prévalu lorsque les Irlandais avaient rejeté le traité de Nice en juin 2001. Ils avaient alors fini par ratifier le traité après avoir obtenu quelques aménagements.

Au-delà du casse-tête juridique qui découle de ce vote, beaucoup dans la classe politique française voyaient dans ce nouveau "non" la preuve de l'existence d'un fossé entre l'Union européenne et les peuples.

Les "nonistes" lors du référendum de 2005 sur la Constitution européenne ont bien évidemment crié victoire, en y trouvant un encouragement pour les élections européennes de juin 2009. "Nous sommes tous des Irlandais!", s'est exclamé Jean-Marie Le Pen. Un slogan repris par un autre souverainiste de droite, Philippe de Villiers, pour qui "ce vote sonne comme un rejet massif de la dérive anti-nationale et anti-démocratique de l'Europe de Bruxelles".

Pour Nicolas Dupont-Aignan, qui avait fait campagne à Dublin, ce vote "est un profond désaveu pour Nicolas Sarkozy et Angela Merkel qui ont voulu imposer la Constitution européenne malgré les référendums de 2005".

Les "nonistes" se faisaient cependant peu d'illusions sur l'avenir de leur "victoire". "Comme d'habitude, les dirigeants européens vont essayer de contourner le verdict des urnes", a convenu le sénateur socialiste Jean-Luc Mélenchon.

Pour l'eurodéputé communiste Francis Wurtz, le "non" irlandais traduit la "crise de légitimité du modèle actuel de construction européenne".

Beaucoup de partisans du "oui" partageaient ce point de vue. "Ce doit être pris comme une absolue nécessité que l'Europe apparaisse dorénavant aux citoyens européens comme protectrice", a estimé Frédéric Lefebvre (UMP). "Il est urgent de clarifier les objectifs de la construction européenne", a jugé le groupe des députés UMP pro-européens, appelant à "un nouveau pacte européen pour redonner du souffle et de la légitimité à la poursuite de la construction européenne".

Dans l'immédiat, le "non" irlandais replonge le PS dans ses divisions profondes sur l'Europe. "La solution ne peut plus consister à trouver quelque rafistolage juridique", a estimé Julien Dray. En désaccord avec lui, Jack Lang a souhaité un nouveau vote des Irlandais sur ce "bon texte". AP


Barroso appelle à poursuivre les ratifications
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1501/Canal-Infos/article/detail/311920/2008/06/13/Barroso-appelle-a-poursuivre-les-ratifications.dhtml


Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a appelé vendredi à la poursuite des ratifications du traité de Lisbonne dans les pays de l'UE après le rejet du texte en Irlande, que "tout indique".

"Tout indique que l'Irlande a voté non au traité de Lisbonne", a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse à Bruxelles, en soulignant que la Commission "respectait" le choix des électeurs irlandais. Mais malgré ce rejet quasi-certain, "la Commission européenne pense que les ratifications qui restent à faire devraient continuer à suivre leur cours", a-t-il ajouté.

"Le processus de ratification est fait de 27 procédures nationales et 18 Etats membres ont déjà validé le traité", a-t-il fait valoir. Selon M. Barroso, le Premier ministre irlandais Brian Cowen estime que malgré le "non" au référendum en Irlande, le traité de Lisbonne "n'est pas mort" et que les dirigeants européens devront décider au sommet européen des 19-20 juin "comment continuer".

"Je viens tout juste de parler au Premier ministre Cowen, et il a souligné clairement que ce vote ne devait pas être perçu comme un vote contre l'UE", a ajouté le président de la Commission. De son côté, le Premier ministre slovène Janez Jansa, dont le pays préside l'UE, a estimé vendredi que le traité de Lisbonne "était nécessaire pour rendre l'Europe plus efficace, plus démocratique et transparente", malgré ce rejet. (belga/7sur7)

13/06/08 17h59




Merkel-Barosso-Sarkozy : pour une Europe "Afghanistan admis" mais pas "démocrates admis"...


lundi 9 juin 2008

Esclavage: promu par et actuel dans l'islam, il a été aboli par les Européens


http://fr.novopress.info/?p=3829

Le malentendu actuel sur l’article 4 de la loi du 23 février 2005 relatif à la reconnaissance des aspects positifs de la colonisation française vient de ce que la plupart des protestataires amalgament l’esclavage, la traite et la colonisation européenne de l’Afrique.

Les ancêtres des actuels Antillais n’ont pas été déportés par des Européens colonisateurs de l’Afrique, mais par des marchands européens qui venaient acheter une «marchandise» que produisait et vendait l’Afrique noire : l’esclave noir. La fourniture des quelque 12 millions d’esclaves de la traite atlantique a été une affaire afro-africaine. De longue date sillonné par les voyageurs musulmans, l’intérieur de l’Afrique est demeuré jusqu’au premier tiers du XIXe siècle inconnu aux Européens. Des négriers noirs se chargeaient de la capture des esclaves, de leur acheminement jusqu’à la côte et de leur vente. Les Etats exportateurs d’esclaves de la côte atlantique de l’Afrique noire considéraient ce trafic comme leur commerce naturel.

Les Européens n’ont pas inventé la traite des Noirs, qui existait déjà depuis des siècles à destination du monde musulman. En effet, l’islam, tout en invitant les maîtres à une plus grande bienveillance envers leurs esclaves, a entériné l’institution de l’esclavage. La religion musulmane autorise à posséder des esclaves.

Dès le haut Moyen Age, le monde musulman est devenu le grand importateur d’esclaves. Dans les premiers siècles de l’islam, de nombreux Blancs d’Asie et d’Europe sont déportés en terre musulmane. En particulier, des Slaves (d’où les termes «esclave», «ex-slave») sont massivement capturés dans des razzias et, au mépris des excommunications, vendus par les Vénitiens ou les Marseillais aux musulmans d’Egypte. Mais, parallèlement, la demande d’esclaves du monde arabo-musulman entraîne la mise en route de deux courants de traite en provenance d’Afrique noire. L’un, terrestre, conduit les esclaves du subcontinent noir au nord de l’Afrique à travers le Sahara (traite transsaharienne). L’autre, maritime, achemine les esclaves noirs des ports de la côte est de l’Afrique jusqu’au Moyen-Orient (traite orientale). Il semble qu’au total, entre le milieu du VIIe siècle et la fin du XIXe siècle, les traites musulmanes aient déporté un nombre de Noirs nettement supérieur à la traite européenne.



D’ailleurs, outre les traites musulmanes, il existait dans l’Afrique noire de l’époque médiévale et moderne de vastes réductions en esclavage et un important trafic interne d’esclaves (traite interne). L’arrivée des navigateurs européens a été providentielle pour le commerce des Etats riverains du golfe de Guinée, trop éloignés du Sahara pour qu’ils y écoulent leur surplus d’esclaves. Il y avait là une offre d’esclaves prête à satisfaire d’éventuels acquéreurs.

A la différence de l’islam, le christianisme n’a pas entériné l’esclavage. Mais, comme il ne comportait aucune règle d’organisation sociale, il ne l’a pas non plus interdit. Pourtant, l’idée d’une égalité de tous les hommes en Dieu dont était porteur le christianisme a joué contre l’esclavage, qui disparaît de France avant l’an mil. Cependant, il ressurgit au XVIIe siècle aux Antilles françaises, bien que la législation royale y prescrive l’emploi d’une main-d’oeuvre libre venue de France. L’importation des premiers esclaves noirs, achetés à des Hollandais, se fait illégalement. Puis, à partir du milieu du siècle, l’explosion de la monoculture sucrière sur le modèle des Antilles anglaises provoque un recours massif aux esclaves noirs. L’Etat s’incline devant le choix des planteurs : il officialise l’esclavage en fixant le statut des esclaves (ordonnance de 1685). C’est une profonde régression juridique.

Mais la logique égalitaire du christianisme est toujours présente. Elle va faire prévaloir l’idée que l’esclavage est incompatible avec la dignité de l’être humain. Le mouvement part d’Angleterre, le pays qui a déporté au XVIIIe siècle le plus de Noirs vers l’Amérique. La force du mouvement abolitionniste anglais repose principalement sur la prédication des pasteurs évangélistes, dénonçant la traite comme un crime contre l’homme et contre Dieu. Il en résulte une interdiction de la traite par l’Angleterre (1806) et les autres puissances occidentales (France, 1817), puis une abolition de l’esclavage lui-même dans les colonies anglaises (1833) et françaises (1848). Décidée par l’Europe, la suppression de la traite atlantique est imposée par elle aux Etats pourvoyeurs d’esclaves de l’Afrique occidentale.

Cependant, rien de pareil n’a eu lieu dans le monde musulman. L’esclavage étant prévu par l’islam, il eût été impie de le remettre en cause. Aussi, l’autre grande forme de la traite vers l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient continua de plus belle au XIXe siècle, qui correspondit à son apogée. Et, parallèlement, des Européens continuaient d’être razziés en Méditerranée et réduits en esclavage à Alger, Oran, Tunis ou Salé (Rabat). D’où l’expédition de 1830 à Alger. Finalement, ce fut la colonisation qui mit presque entièrement fin à la traite musulmane. Lorsqu’elle colonise l’Afrique, dans la seconde moitié du XIXe siècle, l’Europe est antiesclavagiste. Les puissances européennes abolissent l’esclavage, s’attaquent aux marchands d’esclaves et font cesser l’exportation au départ de leurs colonies.



Même si elle l’a beaucoup pratiqué aux XVIIe et XVIIIe siècles, c’est l’Europe chrétienne qui a détruit l’esclavage des Noirs, d’abord aux Amériques puis en Afrique et au Moyen-Orient. L’Occident ne l’a pas fait sans débats, reculs, déchirements. Mais enfin, il l’a fait, et c’est lui seul qui l’a fait. L’Europe devrait être célébrée pour cela. Au lieu de quoi elle est aujourd’hui seule accusée d’un passé esclavagiste que partagent d’autres civilisations : tout particulièrement le monde musulman, mais aussi l’Afrique noire précoloniale. On oublie trop que la suppression de l’esclavage en Afrique est un des bienfaits majeurs de la colonisation.

Jean-Louis Harouel, Professeur à l’université de Paris-II
pour le Figaro


source occidentalis
(cette image n'est là que pour illustrer un problème, nous ne connaissons pas le contenu du site d'où elle provient et ne pouvons donc pas dire si, en dehors de ce problème, nous approuvons l'ensemble de leurs propos)

à lire : L'Esclavage en terre d'islam, de Malek Chebel, Fayard, 506 pages, 24 Euros.


Esclavage - Encore aujourd'hui
par Eric Conan, mis à jour le 02/05/2006

La France s'apprête à célébrer, le 10 mai, la mémoire de la traite négrière. Une journée inspirée par la loi Taubira, qui continue de soulever l'inquiétude de nombreux historiens. Car, au nom du présent, on procède à une relecture partielle d'une tragédie dont le commerce transatlantique, jusqu'au XIXe siècle, n'est qu'un des épisodes. La persistance du phénomène, dans l'Afrique de 2006, en apporte malheureusement la preuve, comme le montre notre reportage au Niger
[...]
"Si l'histoire des traites européennes, qui se caractérise par sa relative brièveté et par leur abolition, est terminée depuis plus d'un siècle et demi, l'esclavage s'est prolongé dans de nombreux pays (dont l'Arabie saoudite) jusqu'au milieu du XXe siècle – c'est pour le dénoncer qu'Hergé a publié Coke en stock, en 1958.

Et il persiste de nos jours dans certains pays, dont le Soudan, le Niger et la Mauritanie, qui l'a pourtant aboli officiellement en 1960, et de nouveau en 1980. Selon le Haut- Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme, il y aurait toujours plusieurs millions d'adultes en esclavage dans le monde et plusieurs associations humanitaires ont aujourd'hui pour objet le rachat d'esclaves: l'une d'elles a récemment racheté, au Soudan, un millier d'esclaves à raison de 50 dollars chacun dans la province de Bar el-Ghazal et, au Niger, les membres de Timidria continuent de lutter contre l'esclavage, malgré son abolition, en 1999 (notre reportage au Niger).

Ces militants anonymes ont le tort de vouloir libérer les victimes oubliées d'une histoire qui écrase encore plutôt que d'instrumentaliser une histoire révolue, comme le souligne l'un d'entre eux, Moustapha Kadi Oumani, en conclusion d'Un tabou brisé. L'esclavage en Afrique (l'Harmattan): «Il apparaît bien paradoxal, au moment où l'Afrique attend des excuses pour les effets dévastateurs qui ont laminé son potentiel économique, déformé les systèmes politiques, sapé les pratiques morales et civiques, qu'elle continue à pratiquer elle-même l'esclavage."
[...]

lire la suite:
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/encore-aujourd-hui_482221.html


vendredi 6 juin 2008

Suisse/UDC: les criminels étrangers ne doivent pas coûter à la communauté à laquelle ils nuisent!


Criminalité des jeunes égale surtout criminalité des étrangers

http://www.udc.ch/index.html?page_id=2367&l=3

(UDC) Depuis 1954, le nombre de condamnations de jeunes pour crimes violents a décuplé. Chaque jour en Suisse on compte un à trois délits de lésions corporelles commis par des jeunes. Or, si la criminalité n'a guère progressé parmi les jeunes Suisses, la violence chez les jeunes est avant tout le fait des étrangers et des naturalisés. C'est à ce niveau que l'Etat doit intervenir. L'UDC exige l'application rigoureuse des lois. Les jeunes étrangers qui ne respectent pas les lois et l'ordre et qui ne sont pas soutenus par leurs parents doivent quitter le pays avec leurs familles.
L'immigration massive de personnes provenant de cultures éloignées de la nôtre pose des problèmes grandissants à notre pays, à ses institutions et à ses écoles. Les passages sous-voies deviennent la chasse gardée de bandes de jeunes étrangers qui font du trafic de drogues et qui menacent les passants. La violence dans les trains et les bus augmente sans cesse, le personnel des transports publics se fait agresser verbalement, sinon physiquement et la resquille est devenue un véritable sport. Des rixes au couteau, des bagarres et la dégradation générale des mœurs font partie du quotidien et menacent de modifier notre propre mentalité et le comportement des jeunes Suisses.
Les enseignants et les autorités scolaires sont de plus en plus souvent dépassés. Les assistants sociaux dans les écoles tentent d'y remédier, mais ils passent à côté du fond du problème: l'application insuffisante des règles. Nous n'avons pas besoin de plus de travailleurs sociaux et autres "streetworkers", mais de personnes qui font régner la sécurité. Et si cela ne va pas autrement, il faut faire intervenir la police. Il n'est pas nécessaire non plus de mettre en place des programmes détaillés qui tiennent compte des moindres souhaits de la moindre ethnie et de la moindre communauté religieuse. Les lois suisses doivent s'appliquer par principe à tous ceux qui habitent ici.
Il faut cesser de manifester une tolérance mal comprise à l'égard de la petite délinquance, par exemple dans les écoles. Quant aux autorités judiciaires, elles doivent soutenir le travail de la police en condamnant effectivement les jeunes malfaiteurs arrêtés. L'UDC exige l'application de la tolérance zéro pour les drogues, l'alcool et la violence dans les écoles. Si nécessaire, l'interdiction de la violence dans les écoles doit être imposée avec l'aide de la police. Les jeunes violents doivent être logés et instruits dans des institutions spécialisées. En revanche, les jeunes étrangers incorrigibles doivent être renvoyés de Suisse avec leurs familles.
Berne, 23 mai 2005



Et Radio Suisse Romande nous en donne toute l'actualité :

Fermeté face aux jeunes criminels étrangers

http://info.rsr.ch/fr/news/Fermete_face_aux_jeunes_criminels_etrangers.html

Selon un sondage, les Suisses se montrent très fermes à l'égard de la violence des jeunes gens d'origine étrangère qui commettent de graves délits. Mais l'enquête montre aussi que les Helvètes ne sombrent pas dans la paranoïa.

Selon "Le Matin Dimanche", 69% des personnes sondées estiment qu'il faut expulser les jeunes étrangers quand ils commettent des délits graves. Cet avis est partagé de manière à peu près égale entre les trois régions du pays (67% au Tessin, 60% en Suisse romande et 72% en Suisse alémanique). Aucune différence n'apparaît entre sondés d'origine suisse et étrangère.

L'image générale des jeunes étrangers pâtit de quelques faits divers signalés dernièrement: 35% les voient comme une charge plutôt qu'un espoir pour la Suisse. Ce taux négatif est plus élevé du côté alémanique (39%) que romand (24%) ou tessinois (32%).

Une majorité de sondés (51%) partagent aussi l'avis que les jeunes étrangers font monter l'insécurité dans la société. Pour venir à bout de ce problème, les Suisses estiment qu'il ne suffit pas de punir mais qu'il faut surtout miser sur l'éducation. A la question de savoir si les campagnes politiques menées contre les étrangers sont en partie responsables de la violence juvénile, seuls 33% répondent oui.

Encore en sécurité

Malgré ces résultats, 72% des sondés disent encore sortir le soir en se sentant pleinement ou moyennement en sécurité. Sans surprise, les femmes sont davantage touchées par la peur de sortir le soir: 34% d'entre elles avouent se sentir plutôt ou pas du tout en sécurité, contre seulement 13% d'hommes. Les personnes âgées sont également davantage gagnées par ce sentiment d'insécurité (31%).

Ces cinq dernières années, la crainte de se faire agresser n'a progressé que chez 36% des gens. Le phénomène est plus marqué au Tessin (46%). A l'inverse, les gens d'origine étrangère ne sont que 28% à avouer que leur peur de se faire agresser a augmenté.

Pas de parano

Quant à savoir si la police est en mesure d'assurer l'ordre public, 59% estiment que c'est le cas contre 30% d'avis négatifs et 11% de gens qui ne savent pas.

En résumé, juge "Le Matin Dimanche", la population voit la violence des jeunes étrangers d'un très mauvais oeil, mais ne sombre pas dans la parano et le sentiment de vivre dangereusement en sortant de chez soi. "Je suis tout de même surpris par la dureté des réponses et l'image plutôt négative que se font les sondés de la jeunesse étrangère en Suisse", conclut Werner Reimann, responsable de l'Institut Démoscope qui a réalisé le sondage.

Cette enquête a été effectuée alors que les esprits étaient encore marqués par le drame de la semaine passée à Locarno. Lors du carnaval, un étudiant avait été battu à mort par trois jeunes originaires des Balkans, dont deux ont été naturalisés.

swisstxt/cer





Le SIFA, "Sicherheit für alle" - "Sécurité pour tous"
http://www.sifa-schweiz.ch/


L'UDC - Union du Centre
http://www.udc.ch


L'initiative populaire contre l'invasion de minarets
http://www.minarets.ch/



Aussi, quand on lit l'article de la Radio Suisse Romande et qu'on apprend la conscience claire qu'ont les Suisse du danger de "l'invasion intérieure", on est triste du résultat obtenu. Car la campagne gouvernementale, qui vise à l'intégration avec la Communauté Européenne (et donc à pousser son pays à monter sur une barque qui coule!), a gagné, et 63% des votants ont repoussé l'initiative salutaire.